Laboratoire d'électronique appliquée, transistor bipolaire, transistors NPN, transistor BC547, oscilloscope, électronique, transistor, tension de sortie, interrupteur crépusculaire, diode
Nous savons qu'une diode est composée d'une jonction P-N. Un transistor bipolaire est constitué d'un monocristal de semi-conducteur (silicium) dopé pour obtenir deux jonctions P-N, disposées en série et de sens opposé. Voici le principe de fonctionnement d'une jonction P-N :
- Si elle n'est soumise à aucune tension, les électrons sont plus nombreux dans la zone N et les trous sont plus nombreux dans la zone P. Par contre, entre les deux zones (en zone neutre), c'est vide.
- Si on applique une tension inverse à la jonction P-N, la zone neutre s'agrandit et la diode est bloquée.
- Si on applique une tension directe (et supérieure à 0.7 [V] ), la zone neutre rétrécit et la diode est passante.
[...] Laboratoire d'électronique appliquée – Le transistor bipolaire I. Préparation avant la séance Fonctionnement du transistor bipolaire Nous savons qu'une diode est composée d'une jonction P-N. Un transistor bipolaire est constitué d'un monocristal de semi-conducteur (silicium) dopé pour obtenir deux jonctions disposées en série et de sens opposé. Voici le principe de fonctionnement d'une jonction P-N : Si elle n'est soumise à aucune tension, les électrons sont plus nombreux dans la zone N et les trous sont plus nombreux dans la zone P. [...]
[...] Comparaison avec la théorie Toutes les tensions mentionnées au point sont des tensions DC mesuré à l'oscilloscope ou calculé théoriquement La théorie prévoit qu'au point A quand la LDR est à 100% de luminosité détecté, la tension est de cela se calcule simplement par un diviseur de tension − V− = − 6 = −4, 5V) donc la lampe est éteinte. Dans le cas où la luminosité détectés est à la tension est de 9,4 en théorie − V− = − 6 = 4V) donc la lampe est allumée. Pour commencer lors du laboratoire nous avons mis une résistance R1 de 20kQ, car avec une résistance supérieure à 100kQ ça ne fonctionnait pas. [...]
[...] Une diode de roue libre D1 qui permet de protéger le transistor contre des surtensions lors d'interruptions du courant dans le circuit. * Un transistor de type NPN qui permet de fournir assez de courant pour commander la bobine de commande du relais (RDC = 320Ω sous 12 V). Une résistance RB qui permet de limiter l'intensité sur la base du transistor. Deux résistances R2 et R3 montées en diviseur de tension permettent de modifier le seuil de luminosité (ou point de basculement) à partir duquel le montage s'allume/s'éteint. [...]
[...] Il n'y a aucun courant qui circule dans le transistor (Ib est tellement faible, qu'on peut le négliger). Au niveau des graphiques expérimentaux, on ne constate aucune modification au niveau de la tension de sortie, ce qui confirme le fait que le transistor est bloqué. Pour Vin = 800 à Vin = 10[V] : On constate que lorsque notre signal d'entrée est à 0 le signal de sortie est au maximum (12 tandis que lorsque le signal d'entrée est maximum, nous voyons une baisse au niveau de la tension de sortie qui est proportionnelle à la tension d'entrée du circuit (en prenant en compte la chute de tension équivalente à la tension de seuil du transistor). [...]
[...] Vérifier que la lampe soit allumée et relever les tensions en A et B. Afficher les tensions, à l'aide de l'oscilloscope, aux points A et B (figure 19) lorsque la luminosité est minimale. Vérifier que la lampe soit éteinte et relever les tensions en A et B. Câblage Figure 18 – Montage du circuit « interrupteur crépusculaire » sur plaque d'essai Figure 19 – Circuit « interrupteur crépusculaire » Détermination des résistances Toutes les tensions mentionnées au point 3.5 sont des tensions DC calculées théoriquement Pour choisir les résistances, il faut tout d'abord bien comprendre le fonctionnement de base d'un AOP. [...]
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