Chimie biologique, glucose, miel, sucre, sucres réducteurs, CCM chromatographie sur couche mince, dosage enzymatique, réaction d'oxydation, gamme étalon, absorbance, chromatographie, dilution, méthode de Fehling, solution étalon, réactif de Molish, gel de Silice, dosage de Fehling, maltose, fructose
Lors de ce TP, nous avons travaillé sur les sucres : nous avons cherché à déterminer les concentrations en glucose dans une solution inconnue de glucose et dans du miel, de plus, nous avons voulu séparer des mélanges de sucres afin d'étudier les différents glucides qui les composent.
Grâce à trois expériences, nous allons pouvoir connaître la concentration en glucose dans une solution inconnue de glucose et dans du miel, nous pourrons également savoir si nous pouvons trouver des sucres autres que le glucose dans le miel, et nous pourrons également identifier quel est ou quels sont le ou les autres sucres qui composent le miel et les 2 mélanges inconnus.
[...] Nous trouvons donc une valeur supérieure à la valeur trouvée lors de la première expérience > 1,4). Le premier dosage était spécifique du glucose uniquement, le glucose est un sucre réducteur, ainsi, nous avions trouvé une concentration de 1,4 g/L de glucose dans la solution de miel. Le dosage de Fehling est spécifique de tous les sucres réducteurs, et pas seulement du glucose, avec ce dosage, nous avons trouvé une concentration en sucre de 2,5 g/L dans la solution de miel. [...]
[...] En regardant une étiquette de miel, nous avons : de sucres environ, dont 31% du glucose du maltose, et du fructose. Grâce à nos expériences, nous savons que le miel est bien constitué de glucose et de maltose, ce sont tous les deux des sucres réducteurs avec leur Carbone anomérique libre, il aurait été intéressant de mettre alors un dépôt de fructose sur notre plaque, ainsi nous aurions vu que le fructose était aussi présent dans le miel. Notons que nous n'avons toujours pas la concentration exacte en glucide de notre solution de miel, en effet, l'expérience numéro 2 avec la liqueur de Fehling n'est spécifique que pour les oses réducteurs (avec leur Carbone anomérique libre), et le fructose n'est pas un sucre réducteur, son Carbone anomérique est lié à un groupement hydroxyle ainsi, cette expérience ne reconnaîtra pas le fructose. [...]
[...] Nous cherchons alors notre facteur de dilution pour savoir comment diluer notre solution de glucose, car nous devons travailler à des concentrations équivalentes : Co = Petit volume Gros volume Co = 17,9 / 22,1 = 0,8 Nous devons donc diluer notre solution de glucose 3g/L par 0,8. Nous mettons alors 80 mL de glucose dans 20 mL d'eau. Notre solution de glucose a donc une nouvelle concentration : 3 x 0,8 = 2,4 g/L Nous avons refait deux fois le dosage avec cette solution à 2,4 g/L et nous trouvons : V1dilué = 23,2 mL V1'dilué = 23,5 mL Les deux volumes sont précis, nous prendrons donc la moyenne des deux pour faire nos futurs calculs, soit mL. [...]
[...] Pour cela, nous allons utiliser notre gamme étalon et tracer une droite, le coefficient directeur de la droite nous donnera alors les concentrations grâce aux mesures d'absorbances que nous avons faite précédemment. Ceci est dû au fait que la droite de notre gamme étalon répond à la loi de Beer-Lambert : Absorbance = x l x C Avec l la longueur de la cuve qui est égale à 1 cm. Avec C la concentration de notre solution en g/L. Nous allons d'abord calculer les concentrations avec nos valeurs personnelles uniquement puis nous les recalculerons avec la moyenne de toutes les valeurs du groupe CHIMIE BIO 1 (=0,4545). [...]
[...] C'est l'anomère qui est consommé par la réaction catalysée par la Glucose Oxydase (GOD). L'équilibre se déplace alors pour transformer les anomères en et ainsi tout le glucose en solution réagira. La transformation du glucose en acide gluconique (le D-glucono-1,5-lactone est instable et se transforme toute de suite en acide gluconique par hydrolisation) : Les produits de cette première réaction sont incolores, ainsi nous avons besoin d'une deuxième réaction, catalysée par une peroxydase qui fournira un produit rouge (l'o-Dianisidine oxydée) et qui utilisera le peroxyde d'hydrogène produit dans la première réaction, nous pourrons alors faire une mesure spectrophotométrique Nous cherchons les concentrations en glucose dans une solution de glucose et dans du miel. [...]
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