Biochimie structurale - Les lipoprotéines
[...] C'est lipoprotéines plasmatique possède une propriété très utile en médecine, la variations de densités. En effet, la partie lipidique possède une densité plus faible que l'eau et plus faible que la chaîne polypeptidique. Cette propriété est utilisé dans les techniques ultra centrifugation. On peut ainsi séparées les lipoprotéines plasmatique en fonction de la proportion de chaîne lipidiques et polypeptidiques entrant dans leur constitution. On a pu ainsi définir quatre groupes de lipoprotéines: les chilomicrons: ce sont les molécules les plus légères, elles correspondent schématiquement à une goutte de graisse avec quelques chaîne polypeptidiques. [...]
[...] Cette maladie est caractérisée par une fragilité de la membrane du globule rouge ce qui entraîne des crises d'hémolyse soient des anémies hémolytiques. Les lipoprotéines à liaison non covalentes. a. Structure Elles correspondent un ensemble de lipoprotéines ayant des structures complexes. Leur allure générale est une grosse goutte lipidique associée par des forces hydrophobes à des chaînes polypeptidiques. Ces chaînes polpypeptidiques portent le nom d'apo lipoprotéines. b. Où peut-on rencontrer les apo-lipoprotéines ? Ce type de structures se rencontre dans les membrane cellulaire mais concerne plus particulièrement une catégorie de lipoprotéines présente dans le sang circulant, ce sont les lipoprotéines plasmatiques. c. [...]
[...] Ce résidu de phosphoinositol est lui-même lié à différents dérivés du glucose: chaîne glycaniques, puis elle-même liée à une phosphoéthanolamine. Remarques: tous les bras lipidiques ou glycolipidiques servent à ancrer les protéines à la membrane plasmique. L'ancrage ayant lieu le plus souvent à la face interne de la membrane plasmique. les bras de GPI demande l'intervention de séquences métaboliques différentes pour être synthétisée. C'est différentes séquences requièrent donc la présence de différents systèmes enzymatique. Ces systèmes enzymatiques sont codés par des gènes PIG. [...]
[...] Cette différence est le résultat du mécanisme des chaînes protéique appelés éditing La composition de la partie lipidique La fraction lipidique est variable quantitativement et qualitativement. a. Composition quantitative La composition quantitative de la fraction lipidique est de à pour les chilomicrons, elle n'est que de pour les HDL. b. Composition quantitative La composition de la fraction lipidique est variable d'une classe de lipoprotéines à une autre. Ainsi les triglycérides sont les lipides majoritaires des chilomicrons et des VLDL. Le cholestérol est quant à lui le lipide principal des LDL. Enfin les phospholipides sont majoritaires dans la composition de la partie lipidique des HDL. [...]
[...] On distingue quatre catégories de lipoprotéines à liaison covalente. a. les palmitoléïl protéines Elles correspondent à des chaînes plypeptidiques sur lesquelles viennent se brancher des molécules d'acide palmitique ( C 16). Cette liaison se fait par une condensation résultant de l'élimination des molécules d'eau sur le groupement thiol d'un résidu cystéine de la chaîne polypeptidique. Il s'agit donc d'une liaison thioester. b. les mystiristoyl protéines Elles résultent de la condensation d'une molécules d'acide mystiristique ( C 14) sur la fonction amine terminale du résidu glycocolle de la chaîne polypeptidique. [...]
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