Ce document est un cours de chimie de niveau quatrième qui examine notamment la mole, le modèle de Bohr, les isotopes, la liaison ionique, la liaison métallique ainsi que les covalences et solides atomiques covalents. Un document idéal dans le cadre des révisions.
[...] On reconnaît donc les différents isotopes en les pesant. Les isotopes sont caractérisés par leur nombre de masse A correspondant au nombre de nucléons, c'est-à-dire la somme de nombre de protons et des neutrons présents dans le noyau. Il est toujours indiqué en haut à gauche du symbole de l'isotope. Sachant que X est le symbole de l'atome, Z le numéro atomique et A le nombre de masse, la notation d'un atome quelconque devient . Connaissant le nombre de masse A et le nombre atomique Z d'un atome, on peut calculer le nombre de neutrons, égal à A présents dans le noyau. [...]
[...] Dans ce type de covalence, l'élément le plus électronégatif d'une paire attirera à lui les électrons de liaison et ceux-ci appartiendront davantage à l'atome le plus électronégatif. Ceci aura pour conséquence de faire apparaître une charge partielle négative sur l'élément le plus électronégatif et une charge partielle positive sur l'élément le moins électronégatif, et ce pour chaque électron de la liaison. Ces charges partielles se représentent par un symbole au-dessus de l'atome. Lorsqu'on représente une liaison de ce type, on place sur la paire liante une flèche indiquant quel atome est le plus électronégatif. [...]
[...] Cela signifie que, dans le tableau périodique, le symbole C représente trois sortes d'atomes. Un élément chimique comprend souvent un ensemble d'isotopes, caractérisés par le même numéro atomique mais possédant un nombre de masse A différent Masse atomique relative moyenne On peut constater dans le tableau périodique que les masses atomiques relatives moyennes indiquées sous le symbole des éléments est un nombre décimal. Ces nombres décimaux ne peuvent s'expliquer ne peuvent s'expliquer par la somme des protons et des neutrons qui est toujours un nombre entier : il n'existe pas de fraction de proton ou de neutron. [...]
[...] Les électrons participant à la liaison sont appelés électrons de liaison et les paires d'électrons n'y participant pas sont appelées paires ou doublets libres Concept d'électronégativité des atomes L'électronégativité ( ) d'un atome est sa capacité d'attraction envers les électrons de liaison Types de liaisons covalentes 1 La covalence (normale) parfaite La covalence (normale) parfaite résulte de la mise en commun de deux électrons célibataires et du partage de cette paire d'électrons entre deux atomes de même électronégativitié. Ce type de covalence se rencontre généralement lorsque deux atomes identiques se mettent en commun. [...]
[...] Le nombre maximal d'électrons que l'on peut trouver sur les différentes couches est égal à n étant le numéro de la couche électronique. Cette règle est sans doute d'application pour les couches P et Q mais n'est pas vérifiable car ces couches ne sont jamais complètes dans les atomes existant dans la nature ou produits artificiellement. Les isotopes 1 Exposants et indices des éléments chimiques Le nombre de protons est rarement précisé 2 Concept d'isotope Les atomes n'ont pas un nombre fixe de neutrons : on peut ainsi trouver plusieurs variantes d'un même élément : les isotopes. [...]
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