Depuis quelques années se développent partout dans le monde des « biocarburants », carburants d'origine naturelle, produits à partir de matériaux organiques renouvelables et non fossiles. Cette production peut se faire à partir de techniques variées, comme la production d'huile, par pressurage de la graine, par fermentation de sucres ou d'amidon, par trans-estérification, c'est à dire en faisant réagir de l'huile avec de l'alcool méthylique.
Beaucoup de scientifiques se posent encore la question de savoir comment les biocarburants peuvent-ils à court, moyen ou long terme se substituer au pétrole.
C'est ce que nous étudierons dans ce dossier, tout d'abord voyons si les biocarburants peuvent remplacer le pétrole dans le moteur, puis comparons leurs différentes formules chimiques, enfin, nous nous intéresseront à leur impact environnemental (...)
[...] En descendant le piston comprime les gaz dans le bas moteur et va ouvrir les lumières d'échappement et de transfert. le deuxième temps Le piston est en bas et repousse les gaz en attente dans le carter "bas moteur" afin de les envoyer dans le haut du cylindre par les transferts qui se sont ouvert à cette position du piston. L'arrivée des gaz frais dans le cylindre repousse les gaz brûlés par la lumière d'échappement elle aussi ouverte quand le piston est en bas. [...]
[...] D'autre part certains biocarburants participent déjà à réduire ces émissions. Au niveau économique Le principal obstacle dans le développement des biocarburants réside dans le coût de leur production, qui est nettement plus élevé que celui des carburants d'origine fossile, le pétrole principalement. De plus, les biocarburants ne sont rentables face au pétrole que si celui-ci a un cours très élevé (au moins 70-80 dollars/baril), ce qui n'est pas le cas actuellement, ni sans doute en 2010. Selon Stéphane His, économiste à l'Institut français du Pétrole on peut considérer qu'en Europe les carburants verts sont compétitifs pour un baril de pétrole à 80 dollars CONCLUSION : Les biocarburants semblent donc être une alternative intéressante aux carburants d'origine fossile, tant au niveau physique que chimique. [...]
[...] Pour l'installer, il suffit de changer l'huile de la voiture, et ajouter un produit permettant la protection du moteur face au changement d'énergie chimique. Avant d'utiliser le bioéthanol dans son moteur il faut rouler 3500 km. C'est seulement après les 3500 Km que l'on peut rouler au E85. Ensuite, on peut alterner entre moteur à essence ou moteur à l'E85 en actionnant un simple bouton relié à l'injecteur du véhicule. L'automobiliste est dans l'obligation de rouler au bioéthanol lorsque le réservoir contient 40% d'E85. [...]
[...] Cela est dû au fait que le colza prélève les nitrates présents dans le sol et les rend en partie disponibles pour les céréales suivants. Ceci évite que ces nitrates se retrouvent dans les nappes phréatiques. De plus, le colza et le tournesol permettent de rompre les cycles des maladies des céréales et de lutter contre les mauvaises herbes. Placée après un colza, une céréale donnera donc un meilleur rendement. le bioéthanol Remplacer un litre d'essence par un litre de bioéthanol permet d'éviter 75% des émissions de gaz à effets de serre qu'aurait produit un litre d'essence. [...]
[...] le troisième temps La combustion (ou plus couramment l'explosion) le piston atteint sa position la plus haute, une étincelle est générée (par l'augmentation de la température) entraînant l'inflammation des gaz résultant du mélange air- essence. Il en résulte une élévation de la pression et de la température poussant alors le piston qui redescend alors vers son point le plus bas. Lorsque que le piston arrive à ce point, les deux soupapes sont encore fermées. le quatrième temps Enfin, l'échappement constitue le dernier temps. [...]
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