Cadmium, substances nocives, cigarette, infertilité, métal, eau, organismes aquatiques, consommateurs, croissance, décollement, comptage et suspension cellulaire, plaques, préparation, puits
Dans notre vie de tous les jours, nous sommes, malheureusement, en contact avec des substances qui peuvent être nocives, voire toxiques pour nous ou les organismes qui nous entourent. Parmi un grand nombre de substances est présent le Cadmium. En effet ce métal lourd est un composé très toxique qui peut notamment être retrouvé dans les produits électroménagers et les cigarettes. Une fois fumé (les cigarettes bien sûr), le cadmium, grâce à ses propriétés physico-chimiques, se retrouve dans les poumons, ce qui peut engendrer des problèmes respiratoires. Il peut aussi se retrouver stocké dans d'autres organes tels que les testicules (possible problème sur la production de spermatozoïdes) ou les ovaires pouvant même engendrer une infertilité dans certains cas.
[...] On sait que le cadmium a un impact chez l'homme lorsqu'il est ingéré par les fumeurs de cigarettes. Mais pour les non-fumeurs ? Cette étude est-elle représentative des effets que ces substances peuvent provoquer chez un homme en présence du cadmium dans son environnement (pas ingéré directement comme en fumant) ? Si oui, est-ce aux mêmes concentrations et % de substances testées ? Sinon, lesquelles ? Nous avons testé l'effet de ces substances sur une durée d'incubation de 3 à 10 jours environ jours pour le cadmium avec 7 jours de SVF avant pour une plaque et 7+3 jours de SVF pour l'autre plaque), mais quand est-il si les périodes d'incubation avaient été plus courtes ou plus longues. [...]
[...] Aurait-on les mêmes résultats à plus grande échelle cellulaire, voire même sur un organisme entier ? Peut-être un impact de l'environnement qui rentre en jeu dans ce dernier cas ? Il y a peut-être d'autres facteurs qui rentrent en compte dans l'effet de ces substances sur les cellules qui n'ont pas été prises en compte ici ? Nous avons utilisé des cellules de drosophiles, donc d'un insecte . Est-ce représentatif si on utilise des cellules issues d'un autre organisme ? Chez les téléostéens ou bien les mammifères par exemple ? [...]
[...] On vient compter le nombre de cellules présentes dans ces 25 zones. Sachant que chaque carreau doublement quadrillé correspond à un volume de 10-5 mL (donc 10-5 mL x 25 pour toutes les zones au total) on peut déterminer la concentration cellulaire par millilitre. Autrement dit : nombre total de cellulesvolume total Un exemple concret : si on disons cellules dans une zone doublement quadrillée puis 13 cellules pour une autre, puis 26 cellules, etc.et ceux pour les 25 zones, on aurait : 15+13+26+ . [...]
[...] Ensemencement des plaques On a donc nos 2 plaques (une pour l'étude du SVF et l'autre pour le cadmium) avec chacune 6 puits contenant 1mL de notre suspension cellulaire. Supplémentation des plaques en SVF Cette étape consiste à incorporer le sérum SVF dans les puits (dans lesquels il y avait déjà 1mL de notre suspension cellulaire) et ceux à différentes concentrations, en conditions stériles. On prépare 6 solutions à des concentrations de SVF différentes respectivement : et 40%. Le milieu de culture étant le milieu Schneider (nom commercial). Pour chaque puits on ajoute 1mL d'une des solutions (concentrées en SVF à ou etc.). [...]
[...] Résultats attendus : Plaque 1 (sérum SVF à différentes concentrations) : on s'attend à une évolution exponentielle du nombre de cellules en fonction du % de sérum. Avec 100% de viabilité. Au bout de 48h : À de SVF nous n'observerons pas de croissance possible des cellules (mais pas de mort pour autant, juste un maintien en état de survie : cellules présentes) Au bout de 48h, à 10% de SVF toutes les cellules se sont divisées donc on passerait de cellules à cellules À 20% de SVF : les cellules se divisent deux fois plus : cellules À de SVF on a : cellules (on a 10% des cellules qui se divisent donc = cellules en plus) À on a : cellules (on a 20% des cellules qui se divisent = cellules en plus) À on a : cellules (on à la moitié de la croissance cellulaire maximale, la moitié des cellules ont pu se diviser) Au bout des 10 jours d'incubation (soit 240h) on aurait : À de SVF nous n'avons toujours pas de croissance possible : cellules sont présentes À 10% de SVF toutes les cellules se sont divisées 5 fois on à de cellules À de SVF on a : cellules (on a 10% des cellules qui se divisent donc = cellules en plus = Puis 10% de ces cellules qui se divisent donc cellules en plus = Puis 10% de ces cellules soit en plus = Puis 10% de ces cellules soit en plus = Et enfin 10% de ces soit = cellules) À on a environ : cellules (on a 20% des cellules qui se divisent du résultat précédent et ceux 5 fois : même principe que pour À on a : cellules (on a la moitié de la croissance cellulaire maximale : même principe qu'à À 20% on a : de cellules : les cellules se sont divisées 10 fois Plaque 2 (sérum à 10% et cadmium à différentes concentrations) : à partir d'une certaine concentration en cadmium, on aura un impact plus ou moins important sur la croissance cellulaire puis la viabilité. [...]
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