Ce document est un devoir de Sciences de la Vie et de la Terre qui explique la toxoplasmose via un test d'immuno-diffusion sur gel sur une femme enceinte, et propose une stratégie de résolution réaliste
A propos des travaux de Metchnikov, nous allons indiquer quelles propriétés fondamentales des cellules de l'immunité sont mises en évidence par ses observations et expliquer l'importance de ces propriétés pour la réponse immunitaire innée.
[...] Selon l'apparition ou non d'arc entre P et Toxo ou/et C et Toxo, on pourra en déduire qu'il y a eu contact avec la maladie et il faudra alors vérifier si celle-ci est toujours présente que ce soit chez l'animal ou la mère ou les deux, car la présence d'anticorps ne signifie pas que la maladie est présente. Les observations de Metchnikov : On peut observer dans ces différents dessins que l'action du système immunitaire est immédiate et qu'elle met en jeu des cellules actives dès la naissance d'un individu (ici les granulocytes qui sont qui sont des globules blancs dits non spécifiques). Ces derniers réagissent des les premières heures de l'infection et permettent notamment la phagocytose. Les globules rouges eux ne sont pas des acteurs de la réponse immunitaire. [...]
[...] Pour ce faire il est nécessaire d'avoir une boite de Pétri remplie de gélose, une paille (ou autre tube), un pic (type cure dent), une feuille de papier noir, un stylo blanc (pour écrire sur la papier noir) ou alors un feutre (pour écrire sur la boîte de Pétri). Enfin, il faut une solution de sérum de la mère du sérum de son chat de sérum d'un chat contaminé (Toxo) (qui contient donc des antigènes spécifiques à la toxoplasmose), de sérum d'un autre chat sain n'ayant jamais été en contact avec la maladie et d'une personne saine également ainsi qu'une pipette pasteur. On réalise alors un puit central dans la gélose et 4 puits périphériques (distant d'environ 5 mm). [...]
[...] Cependant, ils permettent ici de mettre en évidence l'augmentation du flux sanguin qui va permettre une dilatation des vaisceaux (que doivent traverser les granulocytes) et ainsi acheminer les cellules immunitaires sur le lieu de l'infection (ici bactérienne). Cette activité se traduit par des gonflements, sensations de chaud ou rougeurs. Cette immunité innée est importante car même si elle est non spécifique, elle constitue un premier système de défense, qui, s'il ne permet pas de combattre toujours entièrement une attaque étrangère permet au moins de ralentir l'agent pathogène et de l'identifier pour ensuite débuter l'immunité spécifique (acquise). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture