Symbiose, protozoaire cilié, Paramecium bursaria, algue unicellulaire chlorella sp, Anton de Bary, symbionte
Dans la nature, certaines espèces sont parvenues à développer des interactions directes avec d'autres organismes, comme la symbiose par exemple, afin d'augmenter leur nombre de descendants.
Le terme Symbiose a été utilisé pour la première fois par un botaniste allemand, Anton de Bary, au milieu du XIXème Siècle. De Bary a défini la symbiose comme la vie en commun de deux espèces différentes, la plus grande étant appelée l'hôte et la plus petite le symbionte.
[...] C'est a dire environ 350 cellules/ml pour la souche symbiotique, contre seulement environ 75 cellules/ml pour la souche non symbiotique. La figure représente la concentration finale moyenne en Paramécie dans chaque traitement (éclairage plus ou moins long). On observe que les concentrations finales sont plus élevées quand les paramécies ont un cycle lumineux normal (12h de lumière /24h).Elles sont moins élevées lorsque le cycle lumineux est anormal : on remarque une concentration entre 100 et 200 cellules par mL pour 24 h d'obscurité et des concentrations autour de 800 cellules par mL pour 24h de lumière. [...]
[...] Pour 24h de lumière,notre hypothèse serait qu'elle produirait de grandes quantités d'oxygène métabolique comme les zooxanthelles Michael P. Lesser, J.Malcolm Shick) composé toxique pour son hôte à une , un certaine concentration .Dans l'obscurité, elle n'apporte aucun avantage (sucres produits par photosynthèse).Dans des conditions extrême on peut imaginer que la paramécie pourrait manger la Chorelle. Concernant les concentrations non significativement différentes entre les souches quelque soit la condition, notre hypothèse serait que pour chaque condition les paramécies seraient parvenus a atteindre leur capacité biotique par rapport aux conditions données, Peut être que si nous avions effectué des mesures sur un temps plus court, nous aurions remarqué une différence entre les deux souches selon les conditions. [...]
[...] Lesser, J.Malcolm Shick. The Competitive Structure of Communities: An Experimental Approach with Protozoa. Vandermeer, J. H. [...]
[...] Nous allons donc cultiver Paramecium bursaria avec présence ou non de Chlorella sp dans le milieu tout en faisant varier la durée de l'exposition lumineuse. Cela nous permettra de mesurer si Chlorella sp (étant un organisme photosynthétique) apporte un avantage à la souche de Paramecium bursaria symbiotique. Matériel et méthode: Dans cette expérience, nous avons voulu voir l'effet des Chlorelles sur des Paramecium bursaria symbiotiques par rapport à des Paramecium non symbiotiques. Les Paramécies sont des eucaryotes unicellulaires dulçaquicoles du groupe des protozoaires ciliés. [...]
[...] Au bout d'une semaine la mesure des concentrations de paramécies dans chacun des puits s'est faite grâce à une loupe binoculaire. Lors du comptage des paramécies, il nous a fallu rajouter une goutte de lugol au prélèvement de milieu pour pouvoir les compter. Figure 1 Graphique en barre représentant la concentration initiale en Paramécie dans chaque puits pour chaque traitement. Les concentrations sont égales pour chaque souche car les puits ont été rempli avec la même solution. Figure 2 Graphique en barre représentant la concentration finale en Paramécie dans chaque puits pour chaque traitement. [...]
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