Pharmacie - Santé - Social, circulation sanguine, circuit du sang, histoire des sciences, goutte de sang, enseignement des sciences de la vie et de la terre, évolution du concept
C'est en suivant le parcours d'une goutte de sang que l'on réalise que le coeur est
fait de deux corps de pompe en série. Le sang de la circulation systémique revient au coeur par les grosses veines caves, de la moitié supérieure du corps par l'une et de la moitié inférieure par l'autre. La goutte de sang, qui entre dans les oreillettes droites, revient des tissus qui ont extrait l'O2 qui leur est nécessaire et y ont ajouté du CO2 ; elle passe ensuite dans le ventricule droit qui la pompe dans l'artère pulmonaire qui se divise immédiatement en deux branches dont chacune est destinée à l'un des poumons.
Ainsi le coeur droit pompe dans la circulation pulmonaire le sang revenant de la
circulation systémique.
[...] En géologie, il est particulièrement intéressant d'utiliser l'histoire de cette discipline, plus précisément pour tous les cours qui étudient la forme, la structure, la dynamique et l'histoire de la planète Terre. Ces thèmes que l'on peut regrouper sous le terme de tectonique, certes de façon très large, sont étudiés actuellement en classes de 4 S et de terminale. Dans cet écrit, il a été mis en pratique l'utilisation de l'histoire de la géologie dans les classes de 4 et de 1ère S. [...]
[...] c. Hippocrate . d. Aristote : . e. Paraxagora de Cos . f. Hérophile . g. [...]
[...] Dans cette mémoire, l'objet de l'étude est de mieux comprendre des termes, qu'on rencontre dans les sciences de l'éducation, dans le contexte de l'histoire des sciences. Et comment peut- on appliqué les indices tirés de cette étude dans l'enseignement des sciences de la vie et de la terre. Page 2 EVOLUTION DU CONCEPT DE LA CIRCULATION SANGUINE AU COUR DE L'HISTOIRE DES SCIENCES SOMMAIRE INTRODUCTION PREMIERE PARTIE Les études antérieures . Le circuit du sang . L'erreur L'erreur et la vérité L'erreur est un témoin des représentations inappropriées . IV. L'obstacle épistémologique . V. [...]
[...] Ces valves laissent passer le sang de la plus grande vers les plus petits veines. Au lieu d'avancer de l'extrême au centre des parties du corps, le sang doit plutôt passer le long des veines à partir du centre vers les extrémités Et cela, William Harvey a souvent éprouvé dans les dissections des veines. Il a essayé de passer une sonde dans le tronc des veines vers l'une des petites branches, mais, Il n'a pas pu l'introduire loin en raison de la présence des valvules, tandis que, au contraire, il était facile de pousser le long de la direction opposée, à partir des branches vers le tronc. [...]
[...] cette conclusion est renforcée par une pièce très simple de connaissance. La proportion du poids du sang à celle du reste de l'organisme est connu, et il est bien connu aussi que si une artère de n'importe quelle taille est coupé, nous devrions saigner à mort dans un temps très court. Le saignement va devenir plus lent et plus lent jusqu'à ce qu'il ait finalement cessé et que le sang a été épuisé et la mort approchait. La raison doit être que le sang, perdu, n'atteint pas les veines et ne peut donc pas revenir d'eux pour les artères. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture