Mycorhize
Il y a de cela environ 400 millions d'années, les premières plantes quittaient les milieux aquatiques pour venir coloniser la terre ferme. Toutefois, ce changement ne s'est pas fait d'un seul coup et sans aide. Au contraire, les plantes ont eu besoin d'alliés pour réussir ce tour de force et parmi ceux-ci, il y a eu des champignons. C'est grâce à leur association avec certains champignons que les plantes ont réussi à survivre dans des milieux offrant peu d'humidité et de nutriments. Cette association, ou symbiose, se nomme mycorhize
[...] Nous voudrions aussi le remercier pour l'ambiance de la pratique expérimentale et de la rédaction qu'il nous a fait vivre. De plus, les conseils qu'il nous a divulguées tout au long de la pratique, ont toujours été clairs et succincts, nous facilitant grandement la tâche et nous permettant d'aboutir à la production de ce mémoire. Nous voulons remercier également Mme. La Pr. Jamila BAHHOU d´avoir accepté d´être parmi les membres de jury. Nos plus sincères remerciements s'adressent à tous nos proches et amies qui nous ont toujours soutenues et encouragées au cours de la réalisation de ce mémoire. [...]
[...] (2002). Effects of arbuscular mycorrhizae inoculation on micropropagated olive plants. Acta Hort. Acta Hort. (ISHS) 586: 907-910. Marx, D.H. et Bryan, W.C. (1971). Influence of ectomycorrhizae on survival and growth of aseptic seedlings of loblolly pine at high temperature. For, Sci., 17: 37-41. Marx, D.H., Hatch, A.B., ET Mendicino, J.F. (1977). High soil fertility decreases sucrose content and susceptibility of loblolly pine roots to ectomycorrhizal infection by Pisolithus tinctorius. Can. [...]
[...] Pourquoi et comment observer I'état mycorhizien des plants forestiers. Revue Forestière Frangaise, 17(1) : 35-47. Grand, L.F. et Harvey, A.E. (1982). Quantitative measurement of ectomycorrhizae on plant roots. Dans: Methods and principles of mycorrhizal research, Schench, N.C. (éd.). American Phytopathological Society, Minnesota, pp. 157- Jurgensen, M.F., Larsen, M.J. ET Harvey, A.E. (1977). A soil sampler for steep, rockey sites. U.S. [...]
[...] Cette préparation dépend du type de mycorhize et de la nature des échantillons auxquels on a affaire. Ses principales étapes sont le lavage, l'éclaircissement, la coloration, le montage et l'observation des racines Lavage L'expérience montre que plus les échantillons sont propres plus l'évaluation est rapide et précise (Grand et Harvey 1982). La méthode la plus courante de traitement des échantillons est le tamisage humide. Dans notre étude à 3 g de racines latérales sont prélevées au hasard d'abord débarrassées de leur support, le sol, puis lavés par trempage et agitation dans l´eau de robinet pendant quelques minutes Eclaircissement et coloration des mycorhizes Au contraire des ectomycorhizes les endomycorhizes sont systématiquement éclaircis et colorées avant toute observation microscopique. [...]
[...] Chez les ectomycorhizes, les hyphes s'infiltrent dans les racines de l'arbre, entourant les cellules sans y pénétrer constituant un réseau de Hartig, et forment, au pourtour de la racine, un amas d'hyphes qui s'appelle un manchon. Les échanges symbiotiques entre les partenaires se font au niveau intercellulaire. Le manchon fait par les hyphes du champignon joue aussi un rôle protecteur contre des organismes pathogènes. De plus, plusieurs champignons ectomycorhiziens forment des carpophores que l'on voit sur les sols et certains d'entre eux sont comestibles et recherchés par les gastronomes, citons entre autres les girolles (ou chanterelles) et les bolets. [...]
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