- contraception : méthodes réversibles qui s'opposent à la conception.
- Les pilules contraceptives sont les plus utilisées. Il existe différents modèles:
- Oestrogestative : voir chapitre 1
- mini pilule : petite dose quotidienne de progestérone. Elle agit sur les glaires cervicales pour qu'elles restent infranchissables en permanence aux spermatozoïdes. De plus, elle rend la muqueuse impropre à la nidation (...)
[...] - ICSI : on prélève un ovocyte, et on met un spermatozoïde dedans. Puis, on réimplante le tout dans l'utérus. La Femme - Troubles de l'ovulation des femmes) : dus à des problèmes hormonaux (pas assez d'hormones hypophysaires) Remède : stimulation avec de la FSH risque de naissances multiples. - obstruction des trompes : les trompes sont bouchées. Cela est très difficile à diagnostiquer : il faut faire une radio de l'utérus en injectant dans l'utérus un liquide opaque aux rayons. [...]
[...] Elle agit sur les glaires cervicales pour qu'elles restent infranchissables en permanence aux spermatozoïdes. De plus, elle rend la muqueuse impropre à la nidation. - pilule du lendemain : deux fortes doses de progestérone. Cela bloque le pic de LH, rend la nidation difficile à cause de la muqueuse. On ne sait pas pourquoi. - autre contraception : le stérilet qui empêche la nidation chez les femmes qui ont déjà eu un enfant. - contragestion : contre la gestation -Pilule contragestive RU486 : très puissante. Elle bloque l'action de la progestérone. [...]
[...] Le risque augmente avec l'âge de la mère. - Des critères visibles à l'échographie et l'analyse sanguine permettent de dire qu'un fœtus a un risque supérieur à la moyenne d'être trisomiques (1/200) : - clarté nucale : observation à l'échographie : quand on voit une tâche claire sur la nuque, il y a risque. - S'il y a un risque amniocentèse - On prélève du liquide amniotique dans lequel baigne quelques cellules du fœtus. Cela reste une opération délicate finissent par une fausse couche). [...]
[...] On attend 48 heures que cela se développe et on réinjecte le tout ou 3 embryons) dans l'utérus. Mais la nidation est très difficile. On congèle les embryons sernuméraires pour une réimplantation ultérieure. - autres cas mal expliqués : troubles de réceptivité du sperme, etc. Conclusion : Toutes ces techniques médicales posent des problèmes éthiques (moraux) : - diagnostique prénatal : en cas de maladie, pas de remède IVG (meurtre - problèmes liés aux embryons sernuméraires qui ne sont pas réinjectés. [...]
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