Les êtres vivants partagent des caractéristiques communes (ADN, expression génétique, code génétique). Ils ont une origine commune.
Toutes les espèces sont apparentées plus ou moins étroitement. L'état actuel du monde résulte de l'évolution.
La comparaison de caractères homologues (embryonnaires, morphologiques, anatomiques et moléculaires) permet d'établir des relations de parenté.
L'état morphologique permet d'établir des caractères ancestraux et dérivés. Le partage de caractères dérivés entre êtres vivants témoigne d'une parenté.
On peut établir des arbres phylogéniques. Dans les arbres, les ancêtres communs (hypothétiques et non réels) possèdent les caractères dérivés partagés par tous leurs descendants.
[...] Critères d'appartenance Caractère lié à la bipédie à l'augmentation du volume crânien, à la réduction de la face, et aux traces fossiles d'activité culturelle. Un fossile présentant au moins un de ces critères appartient à la lignée humaine. Caractère buissonnant de la lignée humaine Plusieurs espèces d'homininés ont vécu entre six millions d'années et ans. Les Australopithèques possèdent les caractères dérivés en rapport avec la bipédie. Les Homo possèdent en plus un développement cérébral et une réduction de la face. Les Australopithèques ont vécu entre quatre millions d'années et un million d'années. [...]
[...] Fiche de ce que je dois avoir compris en Sciences et Vie de la Terre (SVT) en Terminal S Sommaire 1. Parenté entre les êtres vivants et fossiles. Phylogenèse Evolution Phylogénie Lignée humaine Critères d'appartenance Caractère buissonnant de la lignée humaine L'origine des hommes modernes 2. Stabilité et variabilité des génomes et évolution Innovations génétiques Méiose fécondation : stabilité de l'espèce Méiose fécondation : brassage génétique Relation entre mécanismes de l'évolution et génétique 3. Mesure du temps dans l'histoire de la Terre Datation relative Datation absolue 4. [...]
[...] La transcriptase inverse produit l'ADN du virus qui s'intègre grâce à l'intégrase au génome de la cellule cible. Pendant cette infection : signes d'une maladie virale bénigne. Phase asymptomatique avec présence d'anticorps anti VIH séropositivité. Les défenses immunitaires restent actives mais le virus se multiplie et le nombre de LT4 diminue. Phase symptomatique : le nombre de LT4 baisse. Le SIDA apparaît sous forme de maladies opportunistes. Processus immunitaires mis en jeu Les anticorps émis par les lymphocytes B sont les agents du maintien de l'intégrité extracellulaire. [...]
[...] Les innovations génétiques sont aléatoires et ne dépendent pas du milieu. Méiose fécondation : stabilité de l'espèce Phase haploïde et diploïde s'alternent. La méiose produit quatre cellules filles haploïdes. La fécondation rétablit le nombre diploïde Méiose fécondation : brassage génétique De nombreux locus sont hétérozygotes : variabilité allélique La variabilité est accrue par les brassages inter et intra chromosomiques. Le brassage intra chromosomique (recombinaison par crossing- over a lieu à la prophase 1 de la méiose. Le brassage inter chromosomique (migration indépendante des chromosomes) a lieu à l'anaphase 1 de la méiose. [...]
[...] Contrôle par l'hypophyse (par l'intermédiaire de la FSH et la LH) et par l'hypothalamus (GnRH pulsatile). Mise en jeu d'un rétrocontrôle négatif puis positif. Rencontre des gamètes et début de grossesse La fécondation est conditionnée en grande partie par l'état de la glaire cervicale. L'hormone HCG émise par l'embryon maintient le corps jaune et donc la sécrétion de progestérone, indispensable au début de grossesse. Il existe une relation directe entre comportement sexuel et sécrétion hormonale. Chez l'Homme, le comportement sexuel est partiellement dissocié de son activité hormonale. [...]
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