Différenciation cellulaire, mécanismes du développement, état différencié, mémoire cellulaire, cellule souche, cytoplasme
Chaque cellule a une place et un rôle bien définit dans l'organisme, ses fonctions sont transmises à sa descendance. Un organisme multicellulaire (métazoaire) est constitué de cellules différenciées (gènes de ménages sont des gènes domestiques).
Différenciation :
- Changement qualitatif du génotype cellulaire.
- Synthèse de produits de nouveaux gènes non cycliques.
- Composition protéique changée.
[...] Les états différenciés sont stables et non interchangeables. La Mémoire cellulaire : Elle intervient dans la détermination cellulaire, c'est-à-dire l'engagement d'une cellule non différenciée dans une voie de différenciation de manière irréversible. Chaque cellule s'adapte à son environnement spatial et temporel. Une cellule différenciée arrête sa prolifération : l'état de différenciation est irréversible et inconvertible et transmis à la descendance. Cellules de l'épiderme - (purification) greffe sur une capsule rénale développement de l'épiderme sur la capsule. Chaque cellule a un rôle spécifique, défini et essentiel à la maintenance du tissu. [...]
[...] - Renouvellement par simple duplication : capillaires. - Renouvellement par cellule souche : une cellule souche peut donner différents types cellulaires. II- La Différenciation Elle intervient au niveau de cellules souches, induites par des signaux extérieurs apportés à la cellule et par un programme de détermination interne. Renouvellement par cellule souche : Cellule souche = cellules capables de se différencier, de se reproduire afin de maintenir une réserve permanente de son espèce. Il existe différents types de cellules souches : - Unipotentes : ne peuvent donner qu'un seul type cellulaire (exemple : kératinocytes). [...]
[...] Expérience : on utilise une lignée (cellules immortelles) de fibroblastes de souris et on les met en culture en présence d'un composé qui bloque le cycle cellulaire : les cellules se différencient en myoblastes qui peuvent fusionner pour former des myocytes (myotubes). Qui est responsable ? Le noyau ou le cytoplasme ? Si on met les gènes du myoblaste dans une cellule sanguine, la cellule sanguine peut se différencier en myotube car dans l'ADN il y a un gène qui active ou non la différenciation du fibroblaste en myoblaste. [...]
[...] - Différenciation : - Changement qualitatif du génotype cellulaire. - Synthèse de produits de nouveaux gènes non cycliques. - Composition protéique changée. - Maturation : - Changement quantitatif du phénotype cellulaire (exemple : synthèse protéique en plus grande quantité). - Acquisition de nouvelles compétences fonctionnelles. - Prolifération : - Changement d'activité, gènes cycliques pour la division cellulaire. Accumulation de certaines protéines jusqu'à un point de contrôle, puis synthèse de 2e protéines de plus en plus spécifiques. Maintien de l'état différencié Un tissu/un environnement plusieurs cellules différenciées plusieurs fonctions. [...]
[...] Les protéines de la myogenèse activent le programme de différenciation en cellule musculaire. Ce phénomène est retrouvé dans la différenciation cellulaire : le somite se différencie en myoblaste grâce à myoD qui active la myosine. La myostatine empêche le muscle de grossir : il freine la différenciation. IV- La Thérapie cellulaire On la découvert la présence de cellules souches ailleurs que dans la moelle osseuse ; on a alors prélevé des myoblastes que l'on a mis en culture. Ils se sont multipliés et on les a réinjectés là où le muscle est assez vivant pour battre (exemple dans le cœur). [...]
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