Généralités sur les membranes cellulaires
STRUCTURE DE LA MEMBRANE PLASMIQUE
LIPIDES MEMBRANAIRES
PROTÉINES MEMBRANAIRES
JONCTIONS & ADHÉSION CELLULAIRES
TRANSPORT MEMBRANAIRE DE PETITES MOLÉCULES
[...] Les jonctions cellulaires se divisent en 3 classes : Jonctions occlusives - Jonctions d'ancrage - Jonctions communicantes. Jonctions occlusives Ces jonctions scellent les cellules en un épithélium (tissu de cellules très jointives) de manière à empêcher le passage d'une molécule (même très petite) d'un côté d'un feuillet à l'autre types de jonctions occlusives existent : Jonction serrée (zonula occludens) chez les vertébrés et jonction septale chez les invertébrés Les principales protéines transmembranaires d'une jonction serrée sont les : Claudines : Celles-ci retrouvées dans les cellules épithéliales rénales sont nécessaires à la réabsorption du de l'urine vers le sang (son absence entraîne la perte excessive de cet ion dans les urines) Occludines : Rôle inconnu Les claudines et les occludines sont associées à des protéines membranaires périphériques intracellulaires : les protéines ZO qui ancrent les brins au cytosquelette d'actine Jonctions d'ancrage Les jonctions d'ancrage sont des structures résistantes à différentes tensions cellulaires ; elles traversent les membranes et sont fixées sur des filaments du cytosquelette à l'intérieur de la cellule. [...]
[...] En général, le sens du flux net de la substance transportée activement est contraire à celui de son gradient chimique ou électrochimique. L'apport d'énergie est fourni souvent, mais pas exclusivement, par l'activité d'une ATPase. Les protéines du transport actif sont dites de pompes membranaires. On pense surtout aux pompes ioniques, mais il y en a d'autres types : pompes ABC (ATP-Binding Cassette) et par les pompes photosensibles (light-driven pumps). Pompes ioniques In en existe 3 types de pompe : les pompes de type P (phosphorylé), de type F (FoF1) et de type V (vacuolaire). [...]
[...] Cette pompe est inhibée par l'ouabaïne. Une des caractéristiques de cette pompe est que le cycle de transport dépend de l'autophosphorylation de la protéine : le groupement phosphate terminal de l'ATP est transféré sur un résidu d'acide aspartique de la pompe puis en est éliminé. Les différents états de la pompe dépendent de la présence/absence du groupement phosphate. Pompes de type P : Aussi appelées pompes de type E1E2, il s'agit d'ATPases caractérisées par la présence d'intermédiaires phosphorylés pendant le cycle du transport ionique. [...]
[...] L'une de ces protéines, la calsequestrine, peut lier 43 ions Ca[2+]. La Ca[2+]-ATPase représente 80% des protéines de la membrane du réticulum sarcoplasmique, ce qui a facilité l'isolement, la purification et la caractérisation de cette pompe. Quant à la Ca[2+]-ATPase de la membrane plasmique, on connaît plusieurs isoformes ; l'activité de certaines d'entre elles est modulée par une protéine régulatrice, la calmoduline. Les différentes étapes de transfert de 2 ions calcium La pompe H+/K+-ATPase Est une pompe à protons localisée principalement dans les cellules dites pariétales des glandes gastriques, où elle joue un rôle déterminant dans la sécrétion active de HCl. [...]
[...] Pour utiliser cette barrière, la cellule a recourt à des modes de transfert des molécules hydrosolubles spécifiques à travers leur membrane pour pouvoir ingérer des nutriments essentiels, excréter les déchets et réguler la concentration ionique intracellulaire. Composants Concentration intracellulaire Concentration extracellulaire Cations (libres) (libres) Ca 10-4 7x10-5 (10-7,2 M ou pH 1-2 1-2 4x10-5 (10-7,4 M ou pH Anions[*] anions doivent contenir la même quantité de charges positives et négatives (électriquement neutres). En plus de les cellules contiennent en plus protéines, acides nucléiques etc. [...]
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