Blueprint: How does DNA make us who we are? - Robert Plomin (2018)

Thèmes abordés

Blueprint, How does DNA make us who we are, DNA, Robert Plomin 2018, ADN, fonctions cognitives, capacités phonétiques, non-shared experience, génétique, quantitativité des gênes, hérédité

Résumé du document

Cette fiche de lecture traitera la première partie, fera suite à une prise de note complète et une volonté de respecter la structure du livre.
Débutons par préciser le lien entre les parents et leurs progénitures, puis entre les enfants eux-mêmes. Les enfants sont 50% similaires génétiquement à leurs parents et donc 50% sont développés soi-même. Le capital génétique est intégré dans notre ADN et compte pour 1% de notre ADN total. Si le chiffre est aussi faible, c'est dû aux faits qu'ayant tous 2 bras et 2 jambes, le fondement de l'Homme ne sera pas considéré comme héritable.

Extraits

[...] Blueprint: How does DNA make us who we are? - Robert Plomin (2018) Cette fiche de lecture traitera la première partie, fera suite à une prise de note complète et une volonté de respecter la structure du livre. I. Comprendre l'ampleur de la génétique Débutons par préciser le lien entre les parents et leurs progénitures, puis entre les enfants eux- mêmes. Les enfants sont similaires génétiquement à leurs parents et donc sont développés soit même. Le capital génétique est intégré dans notre ADN et compte pour de notre ADN total. [...]

[...] Les relations parents-fils sont faites pour être correctement vécues, étant génétiquement proches ils sont plus aptes à supporter un comportement (un enfant hyperactif sera évidemment mieux compris dans une famille génétiquement hyperactive, de même pour autres caractéristiques). Plus de la moitié des différences psychologiques entre enfants sont causées par des différences héréditaires. Le reste est dû à des chances d'expériences. Bien sûr il y a quelques exceptions où les évènements prennent le dessus, les viols par exemple. Pour finir, rien ne sert de lutter contre votre ADN. [...]

[...] Les études sur l'environnement partagé ont démontré que du niveau des études supérieures était dû à l'environnement, seulement pour les études en sciences humaines. Point inquiétant selon moi des points de vue politiques croyances religieuses sont dû à l'environnement partagé. VIII. Les Non-shared experience  Expliquons donc les expériences dites « Non-shared experience » en soit des expériences uniques pour un membre de la fratrie, à l'inverse donc de ces expériences sur l'environnement partagé. Le premier est le traitement des parents qui diffère selon l'enfant. L'enfant traité négativement aura plus de chance de parvenir à une dépression. [...]

[...] À la suite de cette étude, la relation entre le HOME et les capacités cognitives ainsi que le développement du langage furent étudiés. En bref la corrélation entre le type de comportement pour affectif, - pour interférence) à l'égard du jeune enfant et ses performances intellectuelles. Pour les familles pourvues d'enfant biologique, la corrélation est de 0,50, et là où tout l'intérêt de cette recherche rentre en jeu, c'est lorsqu'on s'aperçoit que la corrélation pour les familles adoptives est de seulement 0,25. La raison pour laquelle le score présente un écart aussi important est donc le lien génétique. [...]

[...] Autre point intéressant la corrélation entre les jumeaux DZ et leur vrai parent est de 0,3. De quoi faire taire les environnementalistes radicaux. Le plus surprenant c'est que la corrélation entre ces jumeaux et leurs parents adoptifs est de 0. De même il y a une corrélation pour le poids de 0,3 entre les DZ pourtant éloigné et donc sachant que les DZ sont à identiques on peut conclure que l'hérédité est de lorsque l'on parle de jumeaux dans des familles adoptives séparées. [...]