Placticité, cerveau, aire, synapse, embryogenèse, neurone, somatosensorielle, homoncule
Les mammifères possèdent un cortex cérébral très développé. Le cortex est la partie superficielle du cerveau qui forme les hémisphères cérébraux. Il correspond à la substance grise composée de corps cellulaires. Le cortex est le centre de la perception consciente, de la volonté, de l'intelligence. Il fait 2 à 4 millimètres d'épaisseur. Il présente de nombreux plis ou circonvolutions et représente 40% de la masse cérébrale. Il se développe au cours de l'évolution des espèces. Sous ce cortex se trouve le cerveau primitif ou reptilien qui contrôle les fonctions vitales : ventilation, rythme cardiaque, cycle veille/sommeil, faim, soif, désir sexuel, température, pression artérielle... Ce cerveau primitif se compose du bulbe rachidien, du cervelet, de l'hypophyse et de l'hypothalamus (fonction reproductive importante), du thalamus et du système limbique (mémoire). La plasticité cérébrale est lié à l'existence de réseaux neuroniques plus ou moins complexes qui se mettent en place au cours de l'embryogenèse et après la naissance jusqu'à l'âge adulte. Elle est due également au fonctionnement de synapses, permettant les connexions des réseaux neuroniques, et à un phénomène de compensation qui permet le développement, à l'âge adulte, de certaines aires au détriment des aires voisines.
[...] Toute cette adaptation du cerveau aux événements qui viennent perturber son fonctionnement normale se fait grâce à la présence et au fonctionnement des synapses. Ainsi, la plasticité cérébrale est alors une plasticité synaptique. La plasticité cérébrale est lié à l'existence de réseaux neuroniques plus ou moins complexes qui se mettent en place au cours de l'embryogenèse et après la naissance jusqu'à l'âge adulte. Elle est due également au fonctionnement de synapses, permettant les connexions des réseaux neuroniques, et à un phénomène de compensation qui permet le développement, à l'âge adulte, de certaines aires au détriment des aires voisines. [...]
[...] Les mammifères possèdent un cortex cérébral très développé. Le cortex est la partie superficielle du cerveau qui forme les hémisphères cérébraux. Il correspond à la substance grise composée de corps cellulaires. Le cortex est le centre de la perception consciente, de la volonté, de l'intelligence. Il fait 2 à 4 millimètres d'épaisseur. Il présente de nombreux plis ou circonvolutions et représente 40% de la masse cérébrale. Il se développe au cours de l'évolution des espèces. Sous ce cortex se trouve le cerveau primitif ou reptilien qui contrôle les fonctions vitales : ventilation, rythme cardiaque, cycle veille/sommeil, faim, soif, désir sexuel, température, pression artérielle Ce cerveau primitif se compose du bulbe rachidien, du cervelet, de l'hypophyse et de l'hypothalamus (fonction reproductive importante), du thalamus et du système limbique (mémoire). [...]
[...] Le cortex a donc un rôle d'analyseur des informations qui lui parviennent de l'extérieur, grâce aux aires sensitives (ex : odorat ou réflexe de la posture). Il a également un rôle d'acteur grâce aux aires prémotrices et motrices. Entre ces deux types d'aires, il existe les aires d'association qui relient plusieurs aires. C'est le fonctionnement de toutes ces aires qui permet l'élaboration de la perception sensorielle consciente qui conduit à un comportement adapté aux modifications de l'environnement. La perception consciente correspond à l'activité mentale permettant d'identifier, de reconnaître, de désigner ce qui est perçu. [...]
[...] En effet, les hormones sexuelles jouent un rôle de plus en plus évident dans la maturation cérébrale. Cette maturation du cerveau se poursuit après la naissance et correspond ainsi à l'établissement définitif de réseaux neuroniques interconnectés par un nombre plus ou moins grand de synapses. Par exemple, chez le rat, des vibrisses liées à la présence corticale de tonneaux. Au cours de la vie adulte, les nombreuses personnes atteintes par des troubles neurosensorielles (perte de la vue) ou moteurs (paralysie totale ou partielle) présentent une certaine compensation des facultés perdues. [...]
[...] En effet, la représentation de la partie du corps est liée au nombre de récepteurs sensoriels présents sur ce territoire, donc au nombre de corps cellulaires. Ainsi, la sensibilité d'un territoire du soma dépend de la taille du territoire cortical. Cette représentation du soma conduit à l'homoncule caractéristique de l'homme. Chaque espèce possède un développement de l'aire somatosensorielle qui lui est spécifique. La mise en place de cette aire est déterminée par le génotype. Dans cette aire, comme dans les autres, les neurones sont disposés en colonnes verticales. [...]
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