Cours de SVT sur l'environnement : l'atmosphère, l'effet de serre, le réchauffement climatique, l'écologie et le développement durable.
[...] - La troisième couche s'appelle la mésosphère ; on y observe une décroissance rapide de la température avec l'altitude, cessant brusquement à la mésopause, située vers 80 km et où l'on a des températures comprises entre - 120 °C et - 50 °C. - Enfin, au-delà de 85 km environ, c'est la thermosphère ; on y observe une augmentation rapide de la température avec l'altitude. Signalons que les molécules de gaz y deviennent si rares que la notion de température établie sur l'agitation des molécules n'a plus vraiment de sens à partir de 100 km environ. Le schéma ci-dessous récapitule ces différentes couches, pour une atmosphère « standard » aux moyennes latitudes. [...]
[...] L'agriculture intensive est ainsi l'un des responsables de l'augmentation des concentrations de méthane dans l'atmosphère au cours des derniers siècles. - L'ozone. Présent naturellement dans la stratosphère, vers 20 km d'altitude, il nous protège du rayonnement solaire ultraviolet qu'il absorbe. De l'ozone est également produit dans les basses couches de l'atmosphère à partir de composés organiques volatiles émis par les activités humaines (transports). - Le protoxyde d'azote, appelé également « gaz hilarant », est émis naturellement par les sols et provient notamment de l'utilisation d'engrais azotés. [...]
[...] Ainsi cette notion s'enrichit des interactions des êtres vivants avec leur milieu. Les êtres vivants végétaux, animaux, champignons ou micro-organismes qui constituent la biosphère au sens strict occupent bien peu d'espace puisque l'épaisseur occupée par cette enveloppe très mince n'excède pas 11 kilomètres dans les océans kilomètres dans l'atmosphère et seulement quelques dizaines de mètres dans les sols. Sa masse est très faible (70000 fois plus faible que celle de l'hydrosphère). Peuplement des milieux Tant dans les milieux terrestres qu'aquatiques, il existe une diversité phénoménale d'espèces différentes, et on estime aujourd'hui le nombre d'espèces vivantes sur terre à environ deux millions. [...]
[...] Cette absorption du CO2 se produit à une vitesse 100 fois plus rapide que ce qui s'est produit naturellement au cours des 300 derniers millions d'années Lorsque le CO2 se dissout dans l'eau de mer, cela entraîne donc une augmentation de protons (ions mais aussi la diminution de certaines molécules, les ions carbonates, nécessaires à de nombreux organismes marins pour fabriquer leur squelette ou coquille calcaire (coraux, moules, huîtres . Ces plantes et animaux auront donc de plus en plus mal à fabriquer ces structures calcaires. Leurs squelettes et coquilles sont aussi menacés de dissolution. L'acidification des océans peut avoir des effets directs sur les organismes que nous consommons, par exemple les moules et les huîtres, qui fabriquent des coquilles calcaires. Par ailleurs, dans l'océan, tout est connecté. [...]
[...] Elles couvrent actuellement des surfaces boisées sur la planète. Les forêts primaires (c'est à dire faiblement anthropisées) ne couvrent plus que de la surface forestière mondiale. La superficie des forêts de plantation a progressé en moyenne de 3,1 millions d'hectares par an durant les années 90. La moitié de cette augmentation résultait de la transformation en forêts de terres précédemment employées à d'autres fins et le reste de la transformation de forêts naturelles en forêts de plantation. Actuellement, c'est l'Amérique du Sud qui est le continent le plus affecté par la déforestation avec environ 4,3 millions d'hectares détruits par an. [...]
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