Il s'agit d'une synthèse s'appuyant sur 4 documents. le premier document est intitulé "cellule souches un traitement contre la maladie de Parkinson" . Le deuxième "cellule souches patient". Le troisième " libérer le pouvoir de réparation du cerveau " et le quatrième document "soignée Parkinson face au cellules souches " Le thème porte sur les cellules souches plus précisément ses applications à la réparation du système nerveux.
[...] Tout d'abord, le fonctionnement des cellules souches sera explicité dans le cadre de différentes maladies, puis l'avancée des recherches sera évoquée. La greffe de cellules différenciées issues de cellules souches sont très prometteuses pour lutter contre certaines maladies. Après avoir été issus de cellules souches embryonnaires dans les années 1990 pour des transplantations, ces cellules souches pluripotentes sont, depuis la découverte de S.Yamanaka en 2006 (prix Nobel 2012 de physiologie), issues pour la plupart de cellules de peau d'animaux adultes reprogrammées. [...]
[...] L'effet n'est pas immédiat, dans le cas de Parkinson, lors d'une étude sur les singes, les troubles moteurs ont cessé 8 mois après l'implantation. Par imagerie cérébrale, il est possible de voir qu'après implantation que les neurones survivent et qu'ils émettent des prolongements. Bien qu'en cours, certaines recherches se heurtent a de nombreux problèmes. Parmi ceux-ci, on peut noter le problème de l'éthique notamment avec la culture de cellules humaines en laboratoire ou l'utilisation d'embryons humains comme source de cellules souches. [...]
[...] L'un des principaux défis de cette méthode est de s'assurer que les cellules se transforment en sous-types neuronaux appropriés et qu'elles s'intègrent spécifiquement à la zone endommagée. Lors de tests sur des souris, les scientifiques ont réussi à convertir 80% des cellules gliales ciblées en neurones du type souhaité. Dans le cas de la SEP, une maladie auto immune où la gaine de myéline est attaquée, les expérimentations avec les cellules souches se révèlent là aussi être prometteuses et se basent sur 2 axes : l'immun modulation et la remyélinisation. [...]
[...] Pour conclure, bien qu'en phase de tests pour la plupart des expérimentations, qui ont lieu à la base sur des animaux de laboratoire, le nombre d'individus soignés par ces nouvelles méthodes basées sur l'utilisation de cellules souches ne cesse d'augmenter. Les résultats de ces études dans le cadre de traitements sur certaines maladies sont prometteurs. C'est l'avancée scientifique, via la recherche, qui permet d'augmenter l'efficacité des traitements et surtout de démocratiser certaines méthodes, simplifiant ainsi certains protocoles. Bien que potentiellement efficace, on pourrait tout de même se demander si d'autres méthodes émergentes comme la thérapie génique ne pourraient pas progresser de manière plus rapide entraînant par conséquence une baisse de l'attrait pour les cellules souches. [...]
[...] Aussi, le déficit en cellules souches a été comblé par les recherches de S.Yamanaka, qui ont permis à l'équipe de James Thompson de prélever et cultiver des cellules souches en laboratoire afin qu'elles se divisent, dans le but d'obtenir une source inépuisable de cellules souches sans exiger de nouveaux embryons. Les recherches se sont aussi basées sur le rejet immunitaire : il en est ressorti que l'utilisation des pluripotentes induites provenant du patient traité entraine une réduction du taux de rejet de ces cellules par l'immunité. [...]
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