Synthèse sur la transgenèse végétale, et la formation des Organismes génétiquement modifiées via les trois méthodes existantes : physique, chimique et biologique à travers l'utilisation d'agrobacterium. Et enfin en dernière partie la visite d'un laboratoire de recherche.
[...] Enfin, les plates-formes techniques mises en oeuvre pour développer cette thématique principale sont le transcriptone, la cytologie par imagerie, la Résonance Magnétique Nucléaire le métabolisme et la collection TILLING de tomate mutantes Techniques pour obtenir des plantes transgéniques Il existe différentes techniques et méthodes permettant l'obtention de plante transgénique : - La méthode Biologique avec l'aide d'une bactérie du sol : Agrobacterium tumefaciens. - La méthode Physique, appelée Biolistique avec l'aide d'un canon à particules. a. Transformation génétique par Agrobacterium tumefaciens C'est une méthode qui nécessite un vecteur de transfert tel un virus ou une bactérie. Nous allons nous intéresser plus précisément à l'utilisation d'une bactérie telle Agrobacterium tumefaciens. [...]
[...] Transfert fragment d'ADN (l'ADN-T) dans le génome de la plante La bactérie est donc capable d'entraîner la prolifération des cellules transgéniques qui produisent les composés constituant sa nourriture (forme de parasitisme). Cette transformation naturelle des cellules végétales est due aux plasmides (molécule d'ADN généralement circulaire et double brin capable de réplication autonome) présents dans Agrobacterium. Elle résulte de l'intégration dans leur génome d'un fragment d'ADN issu des plasmides Ti, dit tumoraux. Ce mécanisme s'apparente à la conjugaison bactérienne où l'organisme receveur serait une cellule végétale. Le bout de plasmide transféré est appelé ADN-T. [...]
[...] Le groupe 2 s'interresse à la génomique fonctionnelle de la tomate. Ce travail porte sur les modifications survenues lors de la régulation de l'expression des gènes et donc l'évolution de cette expression. Le groupe 3 oriente sa recherche sur la régulation du métabolisme, surtout celui du carbone. Il tente de répondre à la question comment se répartit la matière dans le fruit. Cette partie est plus biochimique. Le groupe 4 étudie les gènes régulateurs du développement du raisin. Mais cette section va disparaître pour intégrer l'ISVV. [...]
[...] Le développement est traité par l'étude de trois étapes de la vie du végétal : fécondation, division cellulaire et élongation cellulaire, et la qualité par l'étude de la capacité du végétal à importer du carbone et le devenir de ce carbone. Cette thématique est donc fondée sur deux grandes phases : le développement du fruit et sa maturation. Pour y travailler, le laboratoire se divise en quatre groupes de recherche. Le groupe 1 traite l'organogenèse et la régulation de la division cellulaire. Il est donc axé sur la partie précoce du fruit. Son chef d'équipe, M. Chevalier, dirige 2 à 3 ingénieurs. [...]
[...] I Présentation de l'Institut National de la Recherche Agronomique, I.N.R.A.: L'INRA est un établissement public administré par les ministères de la Recherche et de l'Agriculture. Il est composé d'un ensemble de laboratoires spécialisés, de la microbiologie à la biologie classique des végétaux (classification ) et produisant un vin blanc grand cru classé ! Ce centre de recherche est constitué de plusieurs instituts comme l'Institut de Biologie Végétale Moléculaire qui nous a été présenté lors de notre visite ou encore l'Institut des Sciences de la Vigne et du Vin (ISVV) qui ouvrira le premier janvier 2007. [...]
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