TPE de 1re S Sur l'odorat et le comportement. En quoi l'odorat influence-t-il notre comportement ?
[...] On appelle cela le flux laminaire et cela permet à l'air d'entrer en contact avec le plus de muqueuse possible dans le but d'une régulation thermale, filtration et humidification efficaces et de sentir l'air inspiré avant son entrée dans les poumons en dirigeant l'air vers les nerfs olfactifs. 3-La muqueuse : Les fosses nasales sont tapissées par une muqueuse pituitaire qui est délimitée en 2 parties : ( Muqueuse respiratoire ( Muqueuse olfactive. La muqueuse respiratoire : Elle recouvre l'ensemble des fosses nasales et grâce aux cils vibratiles et au mucus qu'elle sécrète, elle a pour fonction de tempérer, humidifier et filtrer l'air. Les cornets renforcent son action. La muqueuse olfactive : Elle contient les détecteurs odorants et à un rôle essentiel dans la détection des odeurs. [...]
[...] Il peut y avoir soit de l'enchantement soit de la répulsion. Cela permet de revivre un moment, une ambiance très arômatisée, la vue intérieure est très riche. Ce n'est pas forcément facile à exprimer. C'est donc un éveil à soi même, car il provoque la concentration. Au cours de l'image mentale créée par la révocation d'un parfum il y a aussi le réveil d'autres sensations: on entend, on voit, il y avoir même une certaine chaleur . L'odorat donne envie d'agir ; provoque la prise de décision, par exemple le fait d'aller acheter un croissant en passant devant une boulangerie ouverte!!! [...]
[...] Dans l'épithélium olfactif ils sont regroupés selon leur type de sensibilité. A toute odeur correspond donc une carte particulière qui s'inscrit dans les couches neuronales. Imaginons un instant que les neurones émettent un signal lumineux lorsqu'un influx nerveux les envahit. Un motif ou image olfactive s'éclairerait alors chaque fois que la simple respiration ou le flairage actif conduirait des molécules odorantes à la surface des récepteurs. Il est maintenant possible de rendre visible l'image de certaines odeurs. Cette façon de considérer le support nerveux de l'odeur comme une image d'activité a le mérite de suggérer que le cerveau pourrait traiter le message olfactif comme les systèmes informatiques traitent les formes et les reconnaissent. [...]
[...] Les TPE furent une expérience où nous avons dû mêler organisation, recherche, savoir-faire et entente. J'ai énormément appris, que ce soit sur les odeurs en elles même, mais aussi sur toutes les méthodes de travail autour. C'est surtout sur ces dernières que les TPE furent vraiment formateurs : on a pu apprendre a ce méfier de certaines sources internet surtout et à mettre quelque fois nos désaccord de coté pour pouvoir avancer efficacement. C'est la recherche documentaire qui nous a pris le plus de temps, probablement par manque d'organisation où parce qu'on ne savait pas vraiment quoi sélectionner vu le nombre important d'information sur le sujet. [...]
[...] Nos sens, sans lesquels nous ne pourrions percevoir notre environnement, ont donc leurs limites. Annexes : Schéma du système olfactif : épithélium et bulbe Légende : Sur schéma on voit très clairement les molécules odorantes qui rentrent en contact avec les cils des cellules réceptrices reliées par leur axone, traversant la lame criblée de l'os (l'ethmoïde) aux cellules du bulbe olfactif qui interprètent ensuite le message de ces molécules odorantes. Le schéma montre également les glandes qui sécrètent le mucus recouvrant l'épithélium olfactif. [...]
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