Les OGM
Les Organismes génétiquement modifiés sont le fruit du « génie génétique ».
Grâce à la transgenèse on peut désormais inoculer à une plante une qualité impossible à lui ajouter par les techniques traditionnelles de sélection des espèces. Ce type de manipulation ne concerne pas que les plantes ; le transfert de gènes en laboratoire a franchi la barrière des règnes du vivant. Il se pratique d'un végétal vers un autre mais aussi d'une bactérie, d'un virus, d'un animal vers n'importe quel autre organisme.
Cette technique peut dont être utilisée dans des domaines aussi vastes que la Médecine (greffes, stérilité masculine), l'industrie alimentaire (levure , bactérie), l'agriculture (mais et soja en France) et l'élevage ; les implications et donc les responsabilités qui nous incombent sont prodigieuses.
I .QU'EST CE QUE LES O.G.M ET COMMENT LES OBTIENT-ON ?
Organisme génétiquement modifié
Cela consiste à mélanger les gènes des organismes vivants. La barrière spécifique des espèces animales et végétales ou de l'homme vole en éclat .
Pour être plus précis, c'est un organisme dont le génome a été modifié artificiellement par transgenèse, c'est à dire que l'on a introduit dans son génome, une cellule d'une gène étranger provenant d'un autre organisme.
Il y a un Donneur à qui on prélèvera un gène spécifique pour le réintroduire chez le receveur. Le gène transféré apportera un caractère héréditaire nouveau chez le receveur.
Par exemple : on prélève son gène de résistances ou de gel de carrelet (poisson) et on le réimplante dans la tomate. Résultat : beaucoup moins de dégâts dues au gel des plantations dans cette variété de tomate.
[...] Des comités de biovigilance ont été constitués. En attendant, c'est aux consommateurs de choisir . . Pour la santé : Sans affirmation aucune étant donné le caractère récent de la consommation d'aliments génétiquement modifiés, nous pouvons tout de même dresser une liste des risques potentiels pour le consommateur d'OGM : Risque toxicologique : induire un gène nouveau dans un organisme vivant peut entraîner la production de toxines. Même si certains aliments naturels en comportent, ils ne sont pas nuisibles car produits en quantité non toxiques. [...]
[...] Il y a un Donneur à qui on prélèvera un gène spécifique pour le réintroduire chez le receveur. Le gène transféré apportera un caractère héréditaire nouveau chez le receveur. Par exemple : on prélève son gène de résistances ou de gel de carrelet (poisson) et on le réimplante dans la tomate. Résultat : beaucoup moins de dégâts dues au gel des plantations dans cette variété de tomate. II. PERSPECTIVE DES O.G.M . La création d'Organismes génétiquement modifiés est faite pour de nombreux objectifs dans différents domaine tel la médecine, ou l'agro-alimentaire. . [...]
[...] Des aliments plus diététiques et respectueux de notre santé. Il sera possible de créer des plantes produisant des sucres et des aliments zéro calorie des plantes enrichies au bêta carotène (élément nutritif essentiel pour le cancer et les maladies cardiaques), des plantes enrichies en fer (près de 3.7 milliards personnes souffrent de carence en fer dans le monde), des huiles riches en acides gras spécifiques et certains aliments réduits en toxiques. Une diminution des traitements insecticides et herbicides (économies d'engrais) Apporter une résistance à un herbicide Une économie d'eau pour l'irrigation des sols (la résistance des transformations génétiques à sécheresse permettra une diminution significative de l'utilisation de l'eau) Le changement des pratiques agricoles vers une simplification du travail du sol . [...]
[...] pour l'environnement : Plusieurs conséquences liées aux plantes génétiquement modifiées peuvent nuire à l'environnement. En premier lieu, il est important de préciser que les OGM risquent d'engendrer l'apparition d'insectes résistants aux plantes transgénétiques. L'éventuel impact de la transgénèse sur d'autres insectes bénéfiques à notre environnement et donc qualifiés de non ciblés Abeilles, coccinelle, ver de terre, voir d'autre organismes plus élevés dans la chaîne alimentaire sont effectivement en danger. (par exemple, les colzas transgéniques peuvent perturber la digestion des coléoptères et la chenille du monarque (papillon) succombent à une consommation intensive du pollen issu du maïs transgénique. [...]
[...] Pour la médecine : Des plantes produisant des médicaments ! la solution des plantes transgéniques pour produire des médicaments est considérée comme une voie d'avenir sûre, en termes de risque de contamination. En effet, il n'y a pas de maladie transmissible entre l'homme et la plante, ce qui n'est pas le cas entre l'homme et l'animal. Dans le domaine de la santé, on utilise déjà la transgenèse pour produire des protéines participant à la composition de certains médicaments. L'hormone de croissance, par exemple ou le vaccin contre l'hépatite B. [...]
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