Svt, biologie, morphogénèse, végétale, cytokinine, auxine, hormone, darwin, influence, arbre, graine, plante
A l'origine, simple graine, les plantes grandissent pour former arbres et autres plantes « adultes ». La croissance des plantes se fait par le phénomène de l'élongation cellulaire. Des hormones, l'auxine et la cytokinine, contribuent à cette croissance. On se demande alors dans quelle mesure ces hormones interviennent sur le développement des bourgeons axillaires.
[...] Ces expériences ont donc pour but de nous montrer l'influence de l'association cytokinine/auxine, mais aussi de nous montrer l'influence de la concentration de ces hormones sur la croissance de la plante. La série témoin nous montre l'influence de la concentration en cytokinine sur le développement de la plante. Pour une concentration de 8.10 g.mL-1, on observe le développement de 7 bourgeons ; pour une concentration de 12.10 g.mL-1, seulement 6 bourgeons se sont développés. Nous pouvons donc en déduire qu'une trop forte concentration en cytokinine inhibe le développement des bourgeons. [...]
[...] On observe, sur le plant la formation d'une nouvelle tige principale. Sur le plant une tige axillaire s'est formée au niveau du second bourgeon. Sur le plant deux tiges axillaires, sur le premier et le second bourgeon, se sont formées. Sur les plants B et des tiges axillaires se sont développées après l'apport de cytokinine : nous pouvons donc en déduire que la cytokinine favorise le développement des bourgeons axillaires de la plante. De plus, sur le plant seule la tige liée au second bourgeon a poussé tandis que sur le plant les tiges des deux bourgeons se sont développées : la cytokinine se déplace donc du bas de la plante, les racines, vers le haut, le bourgeon terminal. [...]
[...] La croissance des plantes se fait par le phénomène de l'élongation cellulaire. Des hormones, l'auxine et la cytokinine, contribuent à cette croissance. On se demande alors dans quelle mesure ces hormones interviennent sur le développement des bourgeons axillaires. Développement : Le premier document nous montre l'influence de la cytokinine sur la croissance d'une plante. On nous y présente trois plans : l'un, servant de témoin, a été décapité et on l'a laissé croître. Le plant décapité, a reçu de la cytokinine sous le deuxième bourgeon ; le plant décapité, en a reçu sous le premier bourgeon. [...]
[...] Enfin, pour la même concentration en cytokinine de 8.10 g.mL-1 et de 12.10 g.mL-1 appliquée sur les séries A et on observe une formation de bourgeons plus importante en série A : nous pouvons donc en déduire qu'une trop forte concentration en cytokinine inhibe la croissance des bourgeons de la plante, bien qu'associée à l'auxine. Conclusion : La cytokinine favorise le développement des bourgeons axillaires. Cependant, lorsque l'on associe la cytokinine à l'auxine, et ce dans des concentrations étudiées de manière à ce qu'elles n'inhibent pas la morphogénèse végétale, permet un développement de ces bourgeons encore meilleur. On peut alors se demander si d'autres hormones agissent sur les plantes, et quels sont leurs effets. [...]
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