TPE s'interrogeant sur la vie sur Mars. Mythe ou réalité ?
[...] Ceci ne concerne que la sonde Beagle 2. En y ajoutant le prix de son transporteur Mars Express, le coût total de la mission atteint 340 millions de dollars US. Ce sont d'abord des problèmes de fiabilité de la mémoire de stockage qui avaient contraint les scientifiques à reporter le projet. ( nous développerons tous les problèmes rencontrés dans une sous partie suivante.) C'est dans les locaux d'Int Espace à Toulouse, foyer de la recherche aéronautique et spatiale Européenne, qu'ont été réglées ces défaillances. [...]
[...] Après moult discussions et expériences, les chercheurs actuels conclurent que cela ne pénaliserait pas le futur de la mission. La sonde devra juste s'incliner différemment à certains moments donnés afin de mieux capter les rayons du soleil Autre problème rencontré récemment, la tempête solaire. Celle-ci a tout d'abord affecté les instruments de navigation de la sonde. Ils ont été aveuglés pendant 15 jours par le vent solaire, chargé en particules énergétiques. Une fois la tempête passée, tout est revenu à la normale, les instruments de navigation fonctionnent actuellement très bien. [...]
[...] Le corps central forme le 2ème étage, surmonté d'un 3ème étage. L'étage supérieur Fregat de mise à poste se trouve à l'intérieur de la coiffe. Le lanceur Soyouz possède une fiabilité exceptionnelle ainsi que d'un rapport qualité prix très intéressant, permettant à l'ESA de limiter ses coûts de lancement, traditionnellement élevés. Au lancement, la sonde Mars express pèsera quelques 1108 kg, dont 113 kg d'instruments d'observations. La propulsion est faite par un moteur capable de délivrer une poussée de 400 Newtons et qui permettra l'insertion en orbite de Mars Express petites fusées d'appoint permettent les corrections de trajectoire. [...]
[...] L'inconvénient de ce système est que la totalité de l'équipage doit porter une combinaison lors de la dépressurisation. Avec un sas, il n'est plus nécessaire que tout l'équipage porte une combinaison. De plus, le sas peut servir de "salle blanche" pour lutter contre la poussière corrosive, potentiellement dangereuse de Mars. Les véhicules martiens permettront l'exploration directe à la surface de Mars. Les véhicules longue distance permettront aux astronautes (dont les compétences d'adaptation et l'intelligence seront toujours meilleures que celles d'un explorateur robotisé) d'étudier une large gamme d'environnements martiens. [...]
[...] Cet équipement devra supporter les faibles températures. Il sera ensuite difficile pour l'homme de s'habituer à la différence de gravité avec la Terre. En effet, nous avons vu que courir sur une telle planète reviendrait à marcher sur Terre Même si le terraforming n'est pas d'actualité pour le moment, il paraît clair qu'il le deviendra dans un futur proche. Nul doute que ce thème sera sujet à polémique entre scientifiques ayant soif de conquêtes et de découvertes spatiales, et l'opinion de certains écologistes qui seront sans doutes opposés à tout projet de colonisation d'une planète vierge. [...]
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