La diversité a acquis une place prépondérante dans la génétique. Elle se l'est faite au cours de l'histoire des modèles génétiques en passant par, Ambroise Paré « l'initiateur », Darwin, le modèle « ecclésiastique », et pour en arriver à Gregor Mendel le père de la génétique. Son modèle reflète l'infini de la diversité au sein de la génétique, l'infini des possibles résultats en matière de reproduction, mais aussi le début de la compréhension génétique. Une compréhension qui va permettre de comprendre à quel point l'homme a commis des dégâts sur son patrimoine génétique, en s'attaquant directement à la diversité. Génocide, sélection culturelle (pseudo handicaps physique), ont été de véritable pertes pour l'Homme. L'homme aurait pu faire bien pire, en effet certaines sélections ont été démenties à temps par la génétique, comme la sélection par « niveau » d'intelligence. Cependant l'homme avait et a déjà porté une grande atteinte à son patrimoine génétique. Il a renoncé à obéir à la sélection naturelle, et à générer des sociétés artificiel où les êtres les plus faibles physiquement, et les personnes qui seraient mortes avant l'âge de se reproduirent, grâce à la médecine et au fonctionnement de notre sociétés ont pu vivre, et se reproduire. L'équilibre de la diversité dans notre patrimoine génétique s'en est trouvé profondément atteint. L'atteinte à la diversité a entraîné une dégénérescence génétique qui sera certainement fatale à l'homme.
[...] Il ne manquait plus que le ventre de la mère pour faire grandir ce petit homme. La où cette théorie rejoignait l'église est que si de petit homme (de même constitution que nous, seulement, en plus petit) se trouvent dans les testicules de tout à chacun, ses petits hommes en ont sans doutes, et ce ainsi de suite à la manière de poupées russes. Si l'ont remontait les générations depuis la création de l'homme par dieu, on retrouverait alors toute la population dans les testicules d'Adam. [...]
[...] En effet l'attirance physique est un facteur essentiel de la reproduction. On peut supposer que sur une longue période, les gênes entraînant des mensurations laides dans le phénotype disparaissent. Les personnes dites comme belles par la culture se reproduiront plus facilement que les autres. Un autre facteur, de taille, nous permet de façonner notre patrimoine génétique. Celui-ci aura sans doute des conséquences à long terme beaucoup plus dramatique. C'est le facteur le plus dangereux et le plus inévitable. Elle crée une véritable détérioration de notre patrimoine génétique. [...]
[...] C'est-à-dire un nombre plus grand que le nombre d'atomes dans l'univers (estimer à 1080). Cela est impressionnant, cependant la nature a été beaucoup plus généreuse. Le nombre de caractères d'un être humain est supérieur à 105, de plus le nombre de gênes possible par caractères est rarement de deux, il est supérieur et peu être très conséquent. Le nombre de possibilité par lesquels leur enfant peut être déterminé est infiniment gigantesque. D'autant plus qu'il faut ajouter à toutes ces possibilité, une possibilité supplémentaire. [...]
[...] De plus l'expérience a pu être réalisée de nombreuse fois, avec l'augmentation du nombre d'adoption. Un enfant étranger n'ayant reçu aucune éducation qui est adopté, est capable en quelque année avec de rattraper le niveau de quotient intellectuel moyen de ses camarades de classes de son pays d'adoption. L'hypothèse de base de cet outil de mesure d'intelligence, le QI n'est donc pas vérifié. Le quotient intellectuel n'est pas constant tout au long d'une vie. De plus le degré d'erreur de cette mesure d'intelligence est de l'ordre de 20%. [...]
[...] On aurait pourtant pu le faire en faisant confiance au QI, classer ces personnes de façon à créer une classe d'élite et une classe d'ouvrier. On voit à qu'elle point il est dangereux et difficile de mesurer l'intelligence. Il est encore plus dangereux de s'appuyer sur la génétique pour ces mesures. La culture est au moins autant importante que la génétique pour déterminer l'intelligence d'une personne. La diversité des cultures fait la diversité des intelligences. Qui sont des richesses collectives. Et d'ailleurs que sait-on vraiment de l'Intelligence ? [...]
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