Monde végétal, botanique, végétaux, plantes, lignées chlorophylliennes, spermatophytes
La botanique vient du grec botane qui signifie herbe : c'est donc la science qui s'intéresse à l'ensemble des végétaux.
Avant les années 50, cette question ne se posait pas, on opposait deux mondes : le minéral et le vivant.
Le vivant est séparé en deux règnes : le règne animal et le règne végétal.
Le règne végétal comprend les bactéries, les champignons, les algues, les plantes.
[...] Pour les conifères, la croissance de la tige est toujours monopodiale. La ramification est toujours acrotone. Mais par contre, les pousses obliques apparaissent de part et d'autre du rameau d'ordre I : cette fois il y a amphitonie. conifère Angiospermes dicotylédons Formation du tronc monopodiale Monopodiale (chêne) Sympodiale (tilleul) Apparition des ramifications acrotonie Acrotonie Ramifications d'ordre II amphitonie hypotonie Type buisson : Ensemble touffu de tiges de même vigueur, on ne distingue pas de flèche, pas d'axe principal. La première année, la pousse mise en place est de moindre vigueur. [...]
[...] La membrane plasmique n'est pas directement au contact de l'extérieur. Elle est recouverte d'une paroi : la chitine. Chitine : substance voisine de la cellulose mais azotée. L'appareil végétatif est constitué de filaments enchevêtrés, il est peu élaboré, peu différencié, on ne distingue pas d'organes : c'est un thalle. Ce sont des thallophytes non chlorophylliens. règne des plantes : On retrouve les mousses (bryophytes), les fougères (ptéridophytes), les plantes à graines (spermaphytes). Dans les spermaphytes on distingue les coniférophytes des anthophytes. [...]
[...] Ils permettent de créer un nouvel axe. Ils sont situés ni à l'extrémité d'un axe, ni à l'origine d'une tige mais par exemple à l'endroit d'une blessure (comme le saule pleureur). Chez les plantes pérennes (arbre, arbuste, buisson), on distingue deux grandes catégories de tiges en fonction de la durée de vie du bourgeon terminal : le bourgeon terminal persiste d'une année à l'autre : il est donc responsable de la mise en place de plusieurs pousses annuelles successives, dans ce cas la tige est qualifiée de monopodiale. [...]
[...] On distingue trois parties dans une racine : l'extrémité appelée coiffe : sorte de doigt de gant qui protège le centre de croissance de la racine et qui est aussi le centre de géoperception (il ressent la gravité). Cette partie conditionne l'orientation de la racine. En position subapicale : quelques millimètres au dessus de l'extrémité : présence d'une zone pilifère de deux à trois centimètres de hauteur. Cette zone est recouverte de poils absorbants unicellulaires. Elle est donc responsable de l'absorption des éléments du sol. Au dessus de cette zone, le tissu de revêtement de la racine est brunâtre et imperméable, à ce niveau la racine n'a plus de fonction d'absorption. [...]
[...] On a alors eu une sélection et une prolifération des organismes aérobie. les cyanobactéries : Elles sont apparues il y a plus de 3 milliards d'années. Elles mesurent environ 1 micron de diamètre. La membrane plasmique est recouverte d'une espèce de gelée : c'est la paroi mucifagineuse. Leur ADN est double brin, circulaire, central. On retrouve des ribosomes 705 et des thylakoîdes qui portent à leur surface des sortes de petites sphères : ce sont des phycobilisomes, des sortes de sacs contenant des pigments. [...]
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