La question de l'avortement est très délicate. En effet, on pourrait, grâce à la recherche, soigner certaines maladies, avec les cellules contenues dans les embryons issus de l'avortement, appelées les cellules souches. Cela est cependant quelque peu paradoxal, puisqu'on aiderait la vie par la mort. La législation donne lieu à un débat d'opinion très tendu ; et, malgré les multiples avantages que permettraient les cellules souches, il existe d'autres moyens concurrents.
[...] La médecine évoluant, les maladies pour lesquelles les cellules souches pourraient être utiles pourront être soignées autrement. Certains grands laboratoires et groupes pharmaceutiques ont déjà des vaccins, ou d'autres méthodes curatives / préventives, en cours de recherche en phase II (phase de tests) contre les maladies dégénérescentes d'Alzheimer, de Parkinson , alors que des petits groupes de biotechnologie recherchent des vertus de molécules. Conclusion M ême s'il est évident que les cellules souches embryonnaires pourraient être un moyen indiscutablement efficace pour soigner toutes sortes de maladies, s'il était autorisé de les extraire, mais leur obtention nécessite des embryons avortés, donc la mort d'embryons. [...]
[...] De plus, il existe de nombreux autres moyens pour se procurer des cellules souches. L'avortement ne peut donc pas aider la vie. [...]
[...] L'avortement peut-il aider la vie, grâce aux cellules souches des embryons? Introduction L a question de l'avortement est très délicate. En effet, on pourrait, grâce à la recherche, soigner certaines maladies, avec les cellules contenues dans les embryons issus de l'avortement, appelées les cellules souches. Cela est cependant quelque peu paradoxal, puisqu'on aiderait la vie par la mort. La législation donne lieu à un débat d'opinion très tendue ; et, malgré les multiples avantages que permettraient les cellules souches, il existe d'autres moyens concurrents. [...]
[...] L'avortement A. Législation Loi sur l'avortement L a législation autorisant l'avortement prit son essor en 1975, sous la présidence de Monsieur Valéry Giscard d'Estain, par l'impulsion de Madame Simone Veil, ministre de la Santé à cette époque. Cette mesure faisait suite à la mort de nombreuses jeunes femmes ayant " subit " des avortements clandestins pratiqués dans l'illégalité la plus totale qui soit, le plus souvent dans des lieux reculés, avec des conditions d'hygiène déplorables, exécutés par des personnes non qualifiées, qui entraînaient fréquemment des infections graves de l'utérus. [...]
[...] Aussi, la loi permet aux femmes d'avorter, quelle que soit la période de la grossesse, si des médecins déclarent que l'embryon met en danger la vie ou la santé de la mère. Critiques G râce à cette loi, les femmes peuvent avorter de leur embryon dans de bonnes conditions d'hygiène et de sécurité, et cette loi leur permet aussi d'éviter les accouchements mettant en péril leur santé. Mais cette loi pose un gros problème d'un point de vue, c'est qu'elle ne précise pas le statut de l'embryon vivant ou non vivant et cette imprécision peut être perçue par certaines personnes comme une légalisation de la mort, alors aussi que les biologistes considèrent l'embryon comme l'un des plus petits mammifères B. [...]
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