Darwin, Lamarck, sélection naturelle, sélection liée au sexe, fixisme, évolution, développement, environnement, descendance, héritabilité, hérédité, caractères acquis, caractères non acquis, phénotype, compétition, transformisme, polymorphisme, compétition intraspécifique, compétition interspécifique, lutte pour l'existence, fitness, valeur sélective, adaptation thermique, mutations, dérive génétique, sélection, dispersion, THV Traits d'histoire de vie, Itéroparité, sémelparité, trade-offs
Jusqu'au XVIIIe siècle, la pensée générale était une conception à empreinte de théologie naturelle, dans un cadre religieux. Les personnes pensaient que les objets biologiques étaient tellement complexes qu'ils ne pouvaient être le résultat que d'une création intentionnée, donc d'une création divine.
Le fixisme est un mouvement de pensée qui part du principe que chaque espèce a été créée une fois et ne varie plus au cours de l'histoire. Attention, cela ne veut pas dire unique comme en unique exemplaire. Le concept d'espèce est basé seulement sur une ressemblance entre les individus, les espèces sont disjointes les unes des autres.
[...] Comme la forme des oreilles qui est souvent similaire entre enfants et parents. Des traits à détermination non génétique peuvent aussi être héritables. La sélection naturelle peut agir. Le concept darwinien est exact. Le rôle de la compétition intraspécifique : calcul simple inspiré par Malthus et donné en exemple par Darwin Selon le calcul, il y aurait en 750 ans une population d'éléphants de : N = 19 millions. Ce n'est pas le cas dans la réalité, car il y a des compétitions. [...]
[...] S'il y a une compétition, elle peut faire changer plus vite ou avec une autre fréquence mais il n'y a pas réellement besoin de compétition pour avoir un changement il y a évolution même sans compétition. Théorie de Lamarck : Transformisme : c'est l'évolution graduelle qui est une adaptation à l'environnement. Mais les mécanismes sous-jacents qu'il donne sont erronés. (Une girafe a un grand cou Les futures girafes ont des cous plus grands Etc . = évolution graduelle). Cette théorie est donc fausse. [...]
[...] Et inversement : il grandit peu d'autant plus qu'il produit des cônes. C'est donc bien une corrélation négative. ⛔️ attention, parfois on peut se tromper, car il n'y a pas vraiment de corrélation directe, mais indirecte qui passe par autre co-facteur. Trade-off entre la reproduction et la survie : ici on manipule la reproduction chez la drosophile et on regarde leur survie en fonction de leur reproduction. Voici le protocole : on met des mâles en présence de femelles, donc en présence d'une forte possibilité de se reproduire ou bien en présence de peu de femelles, donc d'une faible possibilité de se reproduire. [...]
[...] Aujourd'hui on est dans un cadre darwinien, ses idées sont aujourd'hui toujours vraies. Il a écrit « The origin of species by means of natural selection » et aussi un ouvrage sur la sélection liée au sexe, aussi appelé La sélection sexuelle. Les « pinsons » de Darwin : c'est un ensemble d'espèces d'oiseaux qui se ressemblent, mais qui globalement sont sur différentes îles. Il pense qu'il y a eu une colonisation par une espèce ancestrale puis se transforme en s'adaptant aux conditions de chaque île. [...]
[...] Il existe dans la nature beaucoup de ces compromis. Les THV ne sont donc pas indépendants les uns des autres. Compromis = c'est les corrélations négatives entre 2 (ou plusieurs) THV. Ces corrélations négatives sont dues, car il y a une allocation des ressources. Les ressources sont limitées donc il faut pouvoir se décider de la dépenser entre plusieurs traits. Trade-offs = ce sont les effets majeurs en évolution, mais l'origine des processus est au niveau des limitations physiologiques des organismes. [...]
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