Cours de Sciences de la Vie et de la Terre sur la méiose.
[...] De la phase haploïde à la phase diploïde : la fécondation : La fécondation chez les espèces haploïdes : Chez les organismes haploïdes, comme chez Sordaria, la fécondation correspond à la fusion de deux cellules appartenant à deux filaments mycéliens différents et haploïdes. Ce champignon ne forme pas de gamètes identifiables. La cellule œuf subit immédiatement une méiose à l'origine de spores haploïdes. Ceci permet à l'espèce de rester haploïde d'une génération à l'autre. La fécondation chez les espèces diploïdes : Chez les espèces diploïdes comme les Mammifères, la méiose accompagne la gamétogénèse. Le gamète mâle comme le gamète femelle (ovocyte) sont des cellules haploïdes. [...]
[...] Il s'agit de la sélection naturelle favorable. Les mutations donnant aux individus un avantage sélectif, ont tendance à se répandre, à être plus nombreuses dans la population. Inversement, les mutations défavorables aux individus, ont tendances à disparaître de la population, à être éliminées. Cependant un changement de milieu peut inverser le sens de l'évolution. Exemple de la phalène du bouleau. La théorie neutraliste : La dérive génétique : De nombreuses mutations ne sont ni favorables ni défavorables pour la survie de l'espèce. [...]
[...] -Un allèle dominant sera noté par une lettre ou un groupe de lettres majuscules. -Un allèle récessif sera noté par une lettre ou un groupe de lettres majuscules. -Pour représenter le génotype d'un caractère dans une cellule diploïde, on l'écrit entre parenthèses, chaque allèle étant séparé par une double barre oblique ou droite. On écrit depuis longtemps le gène ou le phénotype le plus courant dans la nature par un + en exposant. Dans ce cas là, on doit indiquer le phénotype pour en déduire la dominance ou non de l'allèle concerné. [...]
[...] La première mitose de la cellule œuf débute alors. La construction d'un nouvel embryon peut alors commencer. Les anomalies de la méiose : Une erreur de répartition du matériel génétique lors de la méiose, peut être à l'origine d'une altération du caryotype. Si de telles anomalies restent exceptionnelles, elles peuvent cependant entraîner des anomalies génétiques, décelables au niveau du phénotype (trisomie 21 avec le syndrome de Down). La méiose et la fécondation alternent dans le cycle des organismes à reproduction sexuée, elles participent ainsi à la stabilité de l'information génétique de l'espèce. [...]
[...] -Le processus de la reproduction, crée des génotypes originaux. A l'échelle du vivant, les espèces évoluent grâce à la modification des génotypes individuels. Une population est un ensemble d'individus de la même espèce, vivant sur un même espace. Les génotypes étant des combinaisons d'allèles, une population équivaut à une collection d'allèles des différents gènes d'une même espèce. Parmi les innovations génétiques, celles qui affectent les cellules germinales d'un individu, peuvent avoir un impact évolutif, c'est-à-dire qu'elles sont susceptibles d'être transmise à la descendance de cet individu et donc et donc de se répandre dans la population. [...]
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