Signalisation cellulaire, communication cellulaire, molécule signal, membrane plasmique, ADN
Ces mécanismes de communication sont essentiels a la création d'organismes vivants pluricellulaires.
Au niveau de la membrane plasmique, on trouve un récepteur de nature protéiques qui fixe la molécule de signalisation. Ce récepteur va ensuite être couplé aux protéines de signalisation intracellulaire qui transmettent et amplifient le message via des protéines de signalisation et des petites molécules (messagers secondaires). L'amplification se propage ensuite jusqu'à des molécules cibles (protéines) :
- Des enzymes : modification du métabolisme cellulaire,
- Des facteur de transcription : modification de l'information génique,
- Des Protéine du cytosquelette : modification morphologique, mouvement cellulaire.
[...] Le signal ne pourra donc plus passer, ce qui va entrainer une paralysie. Le cobra résiste a sa neurotoxine, car il y a quelques différences sur ses aa : sur le récepteur a l'acétylcholine du cobra il y a un sucre qui peut se fixer, empechant ainsi les neurotoxine de fixer. Les récepteurs couplés aux protéines G : Structure des récepteurs : Les récepteurs sont formés par une seule chaine polypeptidique, un domaine N-term extracellulaire glycosylé, ainsi qu'un domaine médian formé par 7 hélices. [...]
[...] Cela va avoir comme effet de dépolariser transitoirement et localement la MP, créant ainsi un potentiel d'action. Les canaux s'ouvrent et se referment rapidement afin que la cellule retrouve rapidement son potentiel de repos après le passage du signal. La modification des potentiels de repos en potentiels d'action est utilisée pour : La communication via les cellules nerveuses : transmission du signal le long de l'axone, caractérisé par une succession de PA (influx nerveux) jusqu'à la synapse. Initier la contraction musculaire. Envoyer un « signal de sécrétion ». [...]
[...] Le co-activateur va se lier a l'ARN polymérase et peut initier la transcription et modifier les fonctions cellulaire via le cycle ARNm-protéine. Si le récepteur active un co-répresseur, l'initiation de la transcription va rester bloquée. Récepteur -ADN : Dans ce cas, le récepteur est déjà dans le noyau, cette interaction est utilisée pour les hormones non stéroïdiennes (thyroïdiennes Cette hormone va passer dans le noyau (via un pore nucléaire). Le récepteur est un hétérodimère : c'est-à-dire qu'il est composé de deux monomères différents, il va également être déjà fixé sur les éléments réponse de l'ADN. [...]
[...] Contact-dépendant : La molécule de signalisation demeure fixée à la surface des cellules cibles, sur leurs membrane. On observe ce type de signalisation, notamment pour les réponses immunitaire. Cette signalisation peut également se faire via les jonction Gap : on aura échange de petites molécules (surtout AMPc, calcium ou IP3)entre deux cellules voisines. Ces canaux permettent également aux cellules de même type de coordonner leur réponse. Réponses aux multiples signaux extracellulaires : C'est en fait une association de plusieurs signaux qui est à l'origine de la réaction cellulaire. [...]
[...] Molécules signal liposolubles : Elles interagissent avec des récepteurs intracellulaires. Hormones stéroïdiennes (stéroïdes) : elles dérivent du cholestérol. Dans cette catégorie, on retrouve la progestérone, l'œstradiol, le cortisol (ou glucocorticoïde). Hormones thyroïdiennes : elles sont sécrétées par la glande thyroïde. Exemple : la thyroxine ou tétraiodothyroxine. Rétinoïdes : ce sont des dérivés de la vitamine A (impliquée dans la croissance des os). Exemple : l'acide rétinoïque. Gaz : exemple du monoxyde d'azote qui est un régulateur de l'apoptose, un vasodilatateur et un neurotransmetteur. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture