Australopithèques, lignée humaine, préhistoire, Lucy, genre homo, évolution
Les homininés pratiquent la bipédie.
Il y a 3,7 millions d'années, un dépôt de cendre volcanique fossilisé les premiers pas de bipèdes. Il s'agit des premières traces de bipédies imparfaites. Lucy est le plus vieux australopithécus afarensis (-4 à -3Ma), elle a été découverte en 1974 en Éthiopie. Lucy a 52 os, elle est âgée de 3,1 Ma. Sa taille est de l'ordre de 1 à 1 m 20 et son poids de 20 à 25 kilos. Sa colonne vertébrale présente une courbure plus grande que celle de l'homme donc une station debout, mais redressement incomplet. Son bassin est plus court et plus large que celui du chimpanzé. Les muscles fessiers sont développés, les fémurs convergent permettant ainsi aux pieds d'être à la verticale du centre de gravité : ces arguments sont en faveur d'une bipédie, elle est néanmoins imparfaite. Le renforcement de son articulation du cou permet de dire qu'elle était arboricole.
[...] Bilan : La bipédies est une innovation ayant conduit à la séparation des lignées menant à l'homme actuel et aux grands singes. Cette séparation est repoussée à 7 Ma. A ce premier représentant de la lignée humaine actuellement connu viendront s'ajouter d'autres genres et d'autres espèces dont certains on coexister. Cette diversité montre le caractère buissonnant de l'évolution humaine. II- Quels sont les représentants du genre homo ? -Homo habilis:bipède, ne quittera pas l'Afrique, il mesure 1m20 à 1m50. C'est le premier à fabriquer des outils en pierre à 95% du quartz. Il utilise 4 à 5 techniques de débitage. [...]
[...] Bilan : alors que la bipédie est dans le temps le premier critère d'appartenance à la lignée humaine, l'augmentation de la capacité crânienne a vraiment débuté avec le genre homo. Australopithèque et Parenthrope sont considéré comme un rameau détaché assez tôt de cette lignée humaine. III-Quelle est l'origine des hommes modernes ? En 1732 Linné divise l'espèce humaine en 6 races : Américaine Européenne, Asiatique, Africaine, Sauvage et monstrueuse. Il utilise des critères géographique, morphologique, comportementaux hierarchisé. Au cours du XIXème siècle on décrit avec minutie les particularité de chaque race : critère de couleur de peau et géographique sont-ils pertinent ? [...]
[...] Il est bipède avec des fémurs à tête massive traduisant des muscles fessiers développé. Il est arboricole. Cette découverte a permis de reculer l'acquisition de la bipédie de à -6Ma. En 2002 découverte au Tchad de Toumaï un Sahelenthopus tchadensis (-7Ma). Sa capacité crânienne est faible : 300 cm3 mais il est moins prognathe que le chimpanzé. Le trou occipital est central, il est donc engagé dans la bipédie dont l'origine peut être ainsi reculée. Quels sont les autres australopithèques ? [...]
[...] Il s'agit des premières traces de bipédies imparfaites. Lucy est le plus vieux australopithécus afarensis à elle a été découverte en 1974 en Éthiopie. Lucy a 52 os, elle est âgée de 3,1 Ma. Sa taille est de l'ordre de 1 à 1 min 20 s et son poids de 20 à 25 kilos. Sa colonne vertébrale présente une courbure plus grande que celle de l'homme donc une station debout, mais redressement incomplet. Son bassin est plus court et plus large que celui du chimpanzé. [...]
[...] La notion de race n'existe pas. Comment expliquer ressemblance et différence ? Les ressemblances et différences s'explique par les migrations. Il y a deux hypothèse quant à l'origine de l'homme moderne : -1er modèle : celui du remplacement (Out of Africa) : l'homme moderne apparaît d'abord en Afrique et ces migrations successives le conduise dans le reste du monde où il remplace les population de sapiens archaïque. -2ème modèle : celui de la continuité : origine multi-régionale des hommes modernes : il serait apparu dans plusieurs région d'Afrique , Europe à partir des sapiens archaïques. [...]
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