L'établissement de relations de parenté entre vertébrés actuels (ou fossiles) s'effectue par comparaison de caractères homologues. Ces comparaisons permettent de préciser si ce caractère se trouve chez telle ou telle espèce à l'état dérivé ou à l'état primitif. Seul le partage de caractères à l'état dérivé témoigne d'une parenté entre les espèces. Les espèces partageant exclusivement un même état dérivé possèdent un ancêtre commun plus récent que celui qu'elles ont en commun avec les espèces qui ne possèdent pas ce caractère à l'état dérivé. Les espèces possédant le même caractère à l'état dérivé forment un groupe monophylétique.
Dans l'arbre ci-dessus, la grenouille, la mésange, la chauve-souris, le crocodile et l'homme possèdent un ancêtre commun plus récent que celui qu'ils ont en commun avec la truite, ils sont donc plus étroitement apparentés qu'ils ne le sont avec la truite. Ces cinq espèces forment le groupe des tétrapodes, ce groupe est défini par l'ensemble des espèces possédant le caractère dérivé « présence de doigts ». La sardine possédant ce caractère à l'état primitif est donc extra groupe (n'appartient pas au groupe des tétrapodes) (...)
[...] - 2ème étape : du sexe génétique au sexe gonadique. Sur le chromosome au cours du développement précoce, le gène SRY est activé et donne naissance à la protéine TDF, qui déclenche l'expression de gènes architectes (homéotiques), qui conduisent à la différenciation de la gonade indifférenciée en testicule. C'est à ce moment que la différence XX/XY intervient dans l'élaboration du phénotype sexuel : en l'absence de la protéine TDF, la gonade se transforme en ovaire. - 3ème étape : du sexe gonadique au sexe phénotypique différencié. [...]
[...] CONCLUSION : Appareil génital féminin Bilan. A - PARENTE ENTRE ETRES VIVANTS ACTUELS ET FOSSILES - PHYLOGENESE ET EVOLUTION. Liens de parenté chez les Vertébrés. Mise en évidence des liens de parenté. L'établissement de relations de parentés entre les Vertébrés actuels s'effectue par comparaison de structures homologues : embryonnaires, morphologiques, anatomiques et moléculaires. Les comparaisons macroscopiques prennent en compte l'état ancestral et l'état dérivé des caractères. Ces relations de parenté contribuent à construire les arbres phylogénétiques. Les arbres phylogénétiques. Analyse d'un arbre phylogénétique. [...]
[...] Lors de cette phase, on observe une transformation de toute la paroi du follicule en corps jaune, ainsi qu'une sécrétion par le corps jaune d'oestrogènes et de progestérone. L'ovaire va envoyer une information afin de développer l'utérus. L'ovaire synthétise des hormones, qui permettent le développement de l'utérus. Ces hormones, circulant dans le sang, qui présentent des variations cycliques, sont la progestérone et l'oestradiol. Au niveau des hormones, il existe un cycle à relier au cycle de l'utérus. Quand le taux d'œstrogène est faible, les menstruations se produisent ; et quand ce taux d'œstrogène augmente, la muqueuse utérine devient importante. [...]
[...] Une forte concentration en oestradiol est à l'origine d'un fort coefficient de lordose pour la femelle, ce qui fait que les hormones sexuelles femelles entraînent une réceptivité. - Chez le mâle, le comportement de rut est dépendant de la sécrétion de testostérone et des stimuli émis par la femelle. Chez les Hominidés, il y a une dissociation entre les hormones et le comportement sexuel. Ainsi, la réceptivité des Hominidés n'est pas liée aux quantités d'hormones sexuelles. IV- Maîtrise de la procréation. Régulation des naissances. [...]
[...] Une destruction des lymphocytes T et B entraînerait la disparition des cellules de la défense spécifique et donc la disparition de la réponse immunitaire spécifique. De plus, les lymphocytes B et T sont complémentaires l'un avec l'autre car c'est seulement quand on retrouve ces deux types de lymphocytes que l'on observe une réaction immunitaire importante. L'organisme réagit donc à la présence du VIH en synthétisant des anticorps spécifiques, dirigés contre certaines protéines du virus : l'individu est alors séropositif pour le VIH (il dans son sérum, des anticorps spécifiques du VIH). [...]
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