Respiration des animaux, branchies, poumons, trachées, mammifères, invertébrés, insectes
Respiration=se définit différemment selon l'échelle à laquelle on se place.
Echelle cellulaire : oxydation complète de mol organiques avec libération d'Eie pr
le travail des cellules ; dans la mitoch et nécessite chez les animaux du dioxygène, est tjrs aérobie, qui sert d'accepteur final des électrons et H de la chaine resp, réduit en H2O. Produit un déchet, le CO2 ou dioxyde de carbone, par décarboxylations oxydatives qui ont lieu dans la mitoch, CO2 très soluble dans l'eau mais tend à faire baisser le pH (combinaison en acide carboxylique) dc déchet à éliminer pr éviter acidification notamment du sang.
[...] On estime chez l'homme environ 300 millions d'alvéoles. Si on étalait cette surface, elle pourrait atteindre 200m2, très gde surface d'échange par rapport à la surface corporelle sans augmentation de volume (sans tenir bcp de place) 2. Les poumons sont ventilés efficacement, par un courant d'air bidirectionnel a. les poumons sont élastiques, solidaires de la cage thoracique Les poumons sont passifs lors de la ventilation pulmonaire, vont suivre les variations de volume de la cage thoracique grâce à leur élasticité et ceci parce que les poumons sont solidaires de la cage thoracique par le biais des plèvres 10 Cage thoracique : délimitée d'une part par les côtés paires de côtes chez l'homme, sorte de baguettes osseuses métamérisées, sont reliées dorsalement à la colonne vertébrale et ventralement au sternum via du cartilage, délimitée ventralement par un muscle en coupole= le diaphragme, qui sépare le thorax de l'abdomen. [...]
[...] Avantage= air est ainsi complètement renouveler dans les grosses trach à chaque I/E ; au niv des petites trach= la circulation est forcément bidirectionnelle. C. Les mécanismes des échanges gazeux à l'extrémité des trachéoles 1. La barrière à traverser est mince B ex : C consommatrice=C musculaire C musc a des invagination de sa mbne pl= les tubules les trachéoles viennent s'encastrer dans les tubules T d'où contact très étroit entre extrémité de la trachéole et la C à approvisionner. [...]
[...] Les différents filaments sont accolés au niv de disques ciliés, où il y imbrication de gds cils portés par l'épithélium de chaque lamelle. Dc tt cela forme un ensble solidaire dvpant une très gde surface ex2 : le poisson osseux 4 paires de branchies, chaque branchies est à 2 lames (ou hémibranchies) ; ces 2 lames sont subdivisées en très nbx filaments// ; chaque filament possède une arrête osseuse qui assure un soutient qui complète l'effet la poussée d'Archimède + des vaisseaux sanguins. [...]
[...] On passe directement de la bouche aux poumons par un orifice, la glotte. Renouvellement de l'air se fait par des mvts du plancher buccale, qui va s'abaisse ou se relève d'où variation de pression dans cavité buccale : pompe buccale. Animal dépourvu de cage thoracique et diphragme Lors d'un 1er tps de la resp, les narines ext sont ouvertes et communiquent avc narine int ou choanes qui s'ouvrent dans la cavité buccale, le plancher buccale s'abaisse d'où dépression dans la cavité buccale et entrée d'air. [...]
[...] Lors d'une expiration normale, 0,5L d'air sort. On appel air courant ce volume d'air de 0,5L qui rentre et sort des poumons lors de chaque inspiration/expiration normale. Lors d'une expiration forcée, on peut expulsé 1,5L de plus. On ne peut jamais vider totalement les poumons, il reste au minimum 1,5L d'air dans les poumons = c'est l'air résiduel L'air n'est jamais totalement renouvelle dans les poumons lors d'un mouvement respiratoire. Lors d'une I/E normale, on renouvelle l'air courant 0,5L sur les 5L totaux : renouvellement de 10% du volume d'air dans les poumons. [...]
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