La méiose correspond au passage d'un stade diploïde ( à 2n chromosomes), à un stade haploïde (à n chromosomes). Elle est composée de deux grandes étapes.
La première division permet d'élaborer deux cellules filles à n chromosomes à deux chromatides à partir d'une cellule mère à 2n chromosomes à deux chromatides. Cette division suit le schéma suivant : (...)
[...] - Métaphase II: Les chromosomes des deux cellules obtenues se mettent en plaque équatoriale dans ces deux cellules. - Anaphase II: Les chromatides de chaque chromosomes se séparent et migrent vers les pôles opposés des cellules. On obtient ainsi quatre lots haploïdes ( à n chromosomes à 1 chromatide). - Télophase: Les deux cellules vont se diviser en deux pour donner quatre cellules à n chromosomes à 1 chromatide. A noter que dans cette deuxième division il n'y a pas d'interphase ni de prophase. [...]
[...] Schéma de la fécondation Ce sont donc la méiose et la fécondation qui assurent le maintien du caryotype au fil des générations. Ces deux mécanismes se suivent mais ne sont pas toujours dans le même ordre. Chez les mammifères la fécondation succède à la méiose alors que chez Sordaria (champignons) l'inverse se produit. Cependant, des problèmes peuvent arriver lors de ces étapes et provoquer alors des anomalies chromosomiques sur le caryotype d'un individu. On parle de monosomie ou de trisomie. [...]
[...] Comment se maintient ce caryotype d'une génération à l'autre? Afin d'y répondre, nous allons étudier les deux mécanismes à l'origine de cette stabilité. La méiose La méiose correspond au passage d'un stade diploïde ( à 2n chromosomes), à un stade haploïde (à n chromosomes). Elle est composée de deux grandes étapes. La première division permet d'élaborer deux cellules filles à n chromosomes à deux chromatides à partir d'une cellule mère à 2n chromosomes à deux chromatides. Cette division suit le schéma suivant: - Prophase suite à la condensation des chromosomes homologues associés par paires, les chromatides de ces chromosomes vont s'enchevêtrer pour former des tétrades appelés aussi bivalents. [...]
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