I - Propriétés générales
Elles jouent un rôle extrêmement important du point du vue de l'identification cellulaire. Ces glycoprotéines ont un rôle important en matière de communication de l'intérieur à l'extérieur de la cellule ou inversement.
D'un point de vue du nombre de molécules, il y a une protéine pour 50 molécules de phospholipides. On va distinguer 2 populations de protéines (...)
[...] Ainsi les biologistes déterminent une hélice transmembranaire du fait du groupe d'une 20aine d'acides aminés hydrophobes. Ces protéines ne sont pas orientées au hasard dans la membrane. Cette orientation est réalisée au moment de la synthèse même des protéines, réalisé dans la membrane du réticulum. Il semble qu'il y ait des éléments qui contrôlent l'orientation dans la membrane, comme pour l'asymétrie de la bicouche phospholipidiques. Feuillet β 2ème type de protéines transmembranaires, plus rares : ce sont les protéines à feuillets β. [...]
[...] L'existence des protéines transmembranaires ont été révéler par cryofracture et ombrage. La technique consiste à congeler les membranes rapidement, puis on va les casser grâce à un choc latéral. Cette rupture va casser les lignes de plus grandes faiblesses de la préparation. Les protéines ont 2 possibilités, soit elles sortent vers le cytosol, soit vers l'extérieur de la cellule. Dans la photographie, on voit des protéines qui ressortent de la cellule. (p10)La cryofracture concerne un bloc histologique réfrigérer qui va être congelé très rapidement pour éviter l'organisation du réseau cristallin. [...]
[...] Les protéines peuvent être considérer comme des antigènes. Les anticorps sont marqués avec un groupe chimique différent. On prend des de souris et des humaines. Sous loupe binoculaire, l'expérience va faire fusionner les pour donner un hétérocaryon qui regroupe le matériel de la souris et le matériel de l'homme (p9). On va pouvoir repérer les protéines membranaires provenant de la humaine et celle de la de souris car elles ne possèdent pas les mêmes propriétés fluorescentes, marqué par les fluorescéines pour la souris et par la rhodamine pour l'homme. [...]
[...] 2ème opération : On va introduire des éléments beaucoup plus lourds (mélange de métaux) qui vont être vaporisé de façon latérale. Cette vaporisation latérale va amener les métaux à s'accumuler sur les zones qui font sailli, et sur les zones à l'ombre les métaux ne vont pas s'accumule. On génère ainsi un contraste en fonction de la configuration de la préparation. Ce contraste n'a rien à voir avec les natures chimiques des constituants. C'est la configuration va retenir ou non les métaux lourds. 3ème opération . Ensuite, on va faire une vaporisation orthogonale de carbone. [...]
[...] C'est une technique quantitative qui indique sur : la vitesse. si la fluorescence réapparait lentement, cela indique que les protéines sont mobiles mais elle diffuse très lentement. A l'inverse, si la fluorescence réapparait très rapidement car on a une protéine qui diffuse rapidement. Cette technique va permette de se faire une idée de la vitesse de diffusion. la proportion de protéine mobile, 2ème élément quantitatif Si la fluorescence réapparait totalement, cela signifie que dans l'espace décoloré, toutes les protéines qui ont été décoloré peuvent sortir de la fenêtre d'observation et pourront être remplacé par toutes ses protéines qui sont en dehors de la fenêtre d'observation qui vont pouvoir coloniser la partie décoloré. [...]
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