Pompe cardiaque, mise en circulation du sang, activité cardiaque, débit cardiaque, besoins de l’organisme
On peut définir le cœur comme une pompe aspirante et foulante qui met le sang
en mouvement. Le cœur est un muscle creux, quand il se contracte, ses cavités vont varier de volume d'où la mise en mouvement du sang qu'il contient. Le cœur fonctionne en permanence, durant tout la vie de l'organisme.
On peut partir de l'expérience fondamentale du cœur isolé : un cœur complètement isolé de l'organisme peut être maintenu en survie s'il est perfusé avec un liquide physiologique apportant des ions minéraux, du glucose, de l'O2 et que le cœur soit maintenu à 37°C (Mammifère) ; dans ce cas on observe que : le cœur continue à battre en l'absence de toutes innervations : le cœur est doté de la propriété d'automaticité.
[...] (ortho+para), ou végétatif ou de la vie de nutrition a. observation et expérience observation du cœur isolé Cœur complètement dénervé, rythme de 100 batt/min, au lieu de In vivo, le cœur est ralenti : existence in vivo d'une influence cardiomodératrice permanente du syst nerv expériences in vivo Expériences de sections de nerfs et/ou d'excitation nerveuse Excitation du bout central : s'il y a un effet, c'est qu'il y a des fibres nerv afférentes ou centripètes (véhiculant des mess nerv vers le CN) Excitation du bout périphérique : s'il y a un effet sur l'organe périphérique, c'est qu'il y a des fibres nerv efférentes ou centrifuges (véhiculant des mess nerv vers le cœur) (Dans certains nerfs, il peut y avoir les 2 sortes de fibres) pl IX section bilatérale des 2 nerfs X (=vague) On observe une augmentation du rythme cardiaque qui passe de 70 à 100 batt/min (au repos cœur isolé) : influence cardiomodératrice permanente des 2 nerfs vagues section puis excitation du bout périphérique d'un nerf vague Le rythme cardiaque diminue : fibres nerv centrifuges qui véhiculent un mess nerv vers les C du nœud sinusal pr ralentir le rythme cardiaque ; fibres appartiennent au syst parasympathique qui exerce un effet cardio-‐modérateur permanent : effet chronotrope négatif du syst parasympth. [...]
[...] Un cycle cardiaque complet dure 0,8 sec, et comporte 3 phase : contraction des 2 oreillettes (systole auriculaire) dure 0,1sec contraction des 2 ventricules (systole ventriculaire) dure 0,3sec repos général du cœur (diastole générale) dure 0,4sec c. la différence entre cœur G et D étude dans moitié D du cœur : on aurait vu les même phases, le même volume d'éjection systolique (VD et VG éjecte une mm quantité de sang à chaque contraction) mais la pression dans le VD qd il se contracte et dc la pression dns l'artère pulmonaire qui en sort est très inférieure (dans VG et dc dns aorte : 120 mmHg ; dans VD et dans artère pulm : 25 mmHg). [...]
[...] le cœur isolé bat avec un certain rythme : propriété de rythmicité. Le rythme n'est pas le même que in vivo au repos : isolé=100 battements/min ; in vivo au repos=70 à 75 battements/min. Origine du rythme cardiaque ? Qu'est-‐ce qui fait baisser le rythme cardiaque in vivo ? ce cœur présente une séquence de contraction : il y a d'abord contraction du myocarde auriculaire (des 2 oreillettes) puis du myocarde ventriculaire (des 2 ventricules) puis repos général. Qu'est-‐ce qui est à l'origine de cette séquence de contraction (=révolution cardiaque) ? [...]
[...] La C MS cardiaque n'est pas tétanisable. Elle va tjrs subir une contraction puis un relâchement suivie d'une nvlle contraction. Si le cœur était tétanisé, ça empêcherait son rôle de pompage : contraction d'où évacuation du sang ms il faut qu'il se relâche pour se remplir B. Les cellules cardiaques à l'origine de l'automaticité et de la rythmicité du cœur = les C du tissus nodal = les C cardionectrices = les myocytes nodaux Preuves de l'automatisme cardiaque : expérience du cœur isolé : un cœur complètement isolé du corps et dénervé continu à battre : aucune commande nerveuse, fonctionnement automatique ; preuve embryonnaire : chez les embryons, le cœur commence à battre avt d'être innervé Le cœur bat avc un certain rythme, cœur isolé in vitro le rythme est de 100 battement/min, différent de in vivo (au repos : 75 battements/min) Quelles C à l'origine ? [...]
[...] Le sang mal hématosé part du VD par l'artère pulmonaire, arrive aux poumons, cède son CO2 et capte de l'O2 ; le sang bien oxygéné est collecté par des veines pulmonaires qui arrivent au niveau du VG. Artère : transport du sang du cœur vers les organes Veine : transport du sang des organes vers le cœur 3. Conséquence On constate que l'hémi-‐cœur G contient du sang bien hématosé et hémi-‐cœur D que du sang mal hématosé ; d'où importance du cloisonnement étanche du cœur. Cloisonnement en relation avec la dble circulation (ex : poisson :aucun cloisonnement et circulation simple) E. [...]
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