Les plasmocytes sécréteurs d'anticorps et lymphocytes T cytotoxiques. Elles sont le résultat de l'évolution du phénotype immunitaire. Ces cellules proviennent de cellule préexistante.
Les plasmocytes proviennent de la différenciation des lymphocytes B lors de l'entrée d'antigènes, ils sont capables de reconnaitre un antigène spécifique.
Les lymphocytes T pré cytotoxique ou T8 proviennent des CTL.
Les lymphocytes B et T8 sont en permanences renouvelé, ils naissent dans la moelle osseuse qu'ils quittent pour gagner le sang. Les lymphocytes B sont mature dés lors sortis de la moelle alors que les T8 sont matures après leurs passages dans le thymus pour acquérir leur immunocompétence (...)
[...] Ces cellules mémoire sont plus nombreuses que les lymphocytes B et T4 ; elles ont une durée de vie plus long et réagissent très rapidement lors de contacte de l'antigène pathogène. Le phénotype immunitaire et son évolution. Au niveau cellulaire, le phénotype immunitaire acquis correspond au répertoire des clones de lymphocyte B et T et de cellule mémoire de l'organisme ainsi qu'aux éléments effecteur (plasmocytes, anticorps) présent à un moment donné. L'évolution du phénotype immunitaire récapitule l'histoire des contacts antigéniques d'un individu. A un moment précis le phénotype immunitaire correspond à des clones préexistants de lymphocytes B et de cellules mémoire, de cellules effectrices et de molécules effectrices (anticorps). [...]
[...] Il s'agit d'une mémoire immunitaire. La réponse primaire : caractérise un délai plus long pour que les anticorps apparaissent et ils augmentent faiblement et peu durablement. La réponse secondaire : caractérise une réponse très courte et rapide après quelques heures de l'introduction des antigènes et qui déclenche une production rapide d'anticorps grâce à la mémoire immunitaire dû à la réponse primaire. Cette mémoire immunitaire repose sur l'existence de cellules mémoire, qui possèdent une durée de vie longue et une réactivité rapide lors du deuxième contact avec l'antigène. [...]
[...] Sans la présence de lymphocytes T4, il y a un énorme risque de développement de maladies opportuniste, car les lymphocytes T8 et B ne peuvent plus alors réaliser leur expansion et différenciation. Ils ne sont plus activés. III) La réaction antigène anticorps : le complexe immun. La synthèse d'anticorps est la preuve d'une réaction de l'organisme. Les anticorps réagissent dans le milieu extracellulaire (plasma, lymphe) en se liant aux antigènes qui ont déclenché leurs formations. Anticorps Un anticorps est une protéine, elle est constituée de quatre chaines polypeptidiques identiques, l'ensemble ressemble à un Y Ils sont sécrétés par des cellules spécialisées, les plasmocytes ou lymphocytes B. [...]
[...] Le schéma montre que les macrophages portent des récepteurs membranaires sur lesquels peuvent se fixer des parties constantes des anticorps. Ceci permet l'élimination des complexes immuns par phagocytose Récepteur Macrophage Complexe immun Phagocytose du complexe immun IV) Les lymphocytes cytotoxique (LTc) agents du maintient des populations cellulaires A coté des anticorps l'organisme dispose d'un autre moyen de défense : les lymphocytes cytotoxiques ou tueur qui peuvent détruire toutes cellules anormales en particulier les cellules parasitées par les cellules et les cellules cancéreuses. [...]
[...] Evolution du phénotype immunitaire au cours de la vie. Les nouveaux nés possèdent des anticorps de sa mère, on parle de système immunitaire passif. C'est ce qui protège le bébé pendant plusieurs mois après sa naissance mais ils finissent par disparaitre. Au bout de trois mois environs, il fabrique ces anticorps seul, on parle de système immunitaire actif Le système immunitaire peut être modifié artificiellement, en provoquant une immunisation passive par injection d'anticorps (la sérothérapie) ou en provoquant une immunisation active (vaccination). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture