Sciences - Ingénierie - Industrie, comportement, pathologies humaines, pharmacologie expérimentale, neurotransmetteurs, système dopaminergique, catécholamines, système nerveux central, métabolisme neuronal, maladie de Parkinson, toxicomanie, dopamine
Il existe deux types de neurones en fonction de la nature des neurotransmetteurs libérés : neurotransmetteur classique et neuropeptide. Au sein d'un même neurone, on peut avoir un médiateur classique (mécanismes de synthèse, mécanismes de transports, de libération, de recapture) et un neuropeptide.
[...] Dépendances, accoutumance, tolérance Dépendance associée à la compulsion Dépendance physique : dépendant à une molécule, entraine douleurs physiques intenses Dépendance psychique : besoin irrépressible de rechercher la molécule Tolérance: au fur et à mesure du temps, besoin de prendre des quantités plus en plus importante pour avoir les mêmes effets Ex tabac : Tolérance, diminution de la sensibilité des récepteurs dans le temps Pas de dépendance physique mais dépendance psychique (compulsion à rechercher la molécule) Ex alcool : Tolérance, Dépendance physique et psychique Mescaline, LSD Amphétamines, cocaïne ➞ inhibiteurs de recapture des catécholamines (Dopamine) V. [...]
[...] Pharmacologie, définition Pharmacologie : science qui étudie les interactions de diverses substances et de divers systèmes biologiques, dans le but d'applications thérapeutiques ou d'une meilleure compréhension de la physiologie normale ou pathologie Substance : exogène (par à l'être vivant considéré) Système bio : organisme entier, organe en relation avec une fonction biologique (cœur, appareil circulatoire cellule particulière (neurone ou organisme uni ou pluricellulaire hôte Thérapeutique : en lien avec le pathologique, médicaments préventifs (vaccins), médicaments permettant un traitement substitutif (carences), médicaments supprimant la cause de la maladie (bactériennes ou parasitaire) ou corrigeant les symptômes d'un état pathologique II. Pharmaco et métabolisme neuronal (libération, capture) Synthèse peut être bloquée ou activée 1. [...]
[...] Modèles in vivo : le comportement de rotation 6-OHDA : molécule qui induit la maladie de parkinson que l'on injecte à un rat → Toxine qui ressemble à la dopamine Quand elle va être injectée à l'animal, on va la trouver à proximité des neurones DA, elle va emprunter le système de recapture, leurrer les systèmes de transports, leurrer le transporteur à dopamine (TDA) et est toxique par accumulation de radicaux libres intraneuronaux Radical libre : OH • Désipramine : protège neurones noradrénergiques Donc 6-OHDA agira que sur les neurones dopaminergiques On ne veut toucher que des neurones dopaminergiques nigrostriés, ils vont du locus niger vers striatum Comment les cibler spécifiquement ? [...]
[...] Etiologie/Sémiologie Des neurones dopaminergiques contrôlent des neurones cholinergiques L'acétylcholine joue sur la motricité et donc les muscles Si ce système fonctionne mal, ça va avoir des effets sur la motricité et donc provoquer des tremblements Syndrome idiopathique : Parkinson En se fixant sur le récepteur, le neurone dopaminergique freine le neurone cholinergique Avec le syndrome on a donc une levée d'inhibition Si on a une disparition des récepteurs cholinergiques : pas de frein, ACH augmente ➞ syndrome extrapyramidal (plus rare) En terme thérapeutique, il faut rapporter des agonistes dopaminergiques qui vont restaurer la stimulation des récepteurs On a des agonistes dopaminergiques directs (stimulent directement) et indirects (renforcent les neurones restants) Autres solutions : greffe de neurones dopaminergiques ou pose d'électrodes simulatrice qui vont restaurer l'activité Sémiologie : - Début de la maladie progressif (premiers signes peu évocateurs) ➞ lenteurs, rareté des mouvements, diminution de l'expression gestuelle avec force musculaire normale, réduction de la mimique, marche à petits pas, micrographie - 3 signes majeurs de la maladie : Akinésie Hypertonie de type extrapyramidale = R constante lors de l'allongement des mb Tremblements Étiologie : Quelles sont les causes ? [...]
[...] Transport Transport axonal lent : 0,5 à 5 mm/jour (enzymes ) → par les flux du cytoplasme du soma vers extrémité axonale = transport antérograde (sens antéro-postérieur) + transport rétrograde lent (sens postéro-antérieur) Transport axonal rapide (400 mm/j) : vésicules de transport avec enzymes, propeptides (maturation en cours du transport) → par réseau de microtubules (rails qui permettent transport) = transport antérograde et rétrograde (différents types de vésicules et de protéines associées) Ex transport antéro et rétro rapide : corps plurivésiculaire le long d'un microtubule grâce à la kinésine et dynéine 2. [...]
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