Un inventaire des populations d'écureuil roux (Tamiasciurus hudsonicus) et de grand
[...] L'intervalle de confiance est plus réduit avec Schumacher-Eschmeyer. Tableau 2. Estimation de la population d'écureuils roux avec les trois méthodes de calcul : Schnabel, Schumacher-Eschmeyer, Overton. Méthode de calcul Estimation Valeur minimale Valeur maximale Schnabel SchumacherEschmeyer Overton Estimation de la population de grands polatouches (Glaucomys sabrinus) Concernant les grands polatouches, les estimés donnent des valeurs plus variables selon la méthode de calcul (tableau 3). Au bout de quatorze séances de capture, l'estimation de la population comprend entre 11 et 12 individus respectivement pour Schnabel et Schumacher-Eschmeyer. [...]
[...] D'autres méthodes connues sont disponibles pour tenter d'améliorer l'exactitude des estimations, soit l'utilisation d'autres méthodes d'échantillonnage, voire de plusieurs méthodes d'échantillonnage en même temps, ou encore l'estimation de la population avec le logiciel Capture. Cependant, ces différentes options ont été explorées par Koper et Brooks (1998) qui n'ont trouvé aucune réduction suffisante de ce biais causé par les probabilités inégales de capture. Dans la présente étude il est supposé que la population est fermée, ce qui est une autre prémisse importante. Enfin, les marques posées doivent être permanentes et ne pas influencer la probabilité de capture. Ce qui est le cas lorsque les bagues ont été correctement posées. [...]
[...] L'écureuil ou le polatouche doit alors entrer dans le cône, ce qui n'est pas toujours chose facile. Une fois que cela est fait, le second opérateur noue le cône de façon à empêcher l'animal de faire marche arrière. L'écureuil est alors au bout du cône, qu'il faut entrouvrir afin de pouvoir saisir l'une de ses oreilles, et le marquer en prenant garde à ce que le numéro de la bague soit facilement lisible. La marque est une bague métallique que l'on applique à l'aide d'une pince. [...]
[...] L'effort et le succès de capture ont également été calculés pour chacune des deux espèces. Le calcul de l'effort de capture prend en compte le nombre de pièges fermés mais vides, le nombre d'animaux capturés autres que des écureuils ou des polatouches, et le nombre d'écureuils (ou de polatouches) qui se sont échappés au cours des manipulations. On note ces différents incidents I dans la formule mathématique : I x Le succès de capture est quant à lui le rapport du nombre de captures divisé par l'effort de capture. [...]
[...] Journal Tennessee Academy of Science 18:228-249. [...]
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