Sciences - Ingénierie - Industrie, Méthodes de contraception, contragestion hormonale, fécondation, pilule du lendemain, méthode Ogino, méthode des températures, préservatif, ovulation, diaphragme, stérilisation, spermicides
La contraception est l'ensemble des méthodes utilisées par un couple pour empêcher de façon réversible la conception d'un enfant. Il existe des méthodes contraceptives (opposant à la conception) et des méthodes contragestives (opposant à la gestation). Ces méthodes exercent leur action à des niveaux différents de la reproduction (avant ou après la fécondation). Elles recommandent l'abstinence sexuelle au cours de la période féconde.
[...] ) rendent ces méthodes peu efficaces en modifiant le moment de l'ovulation. Les méthodes mécaniques Le préservatif masculin ou condom : c'est un étui de caoutchouc mince et résistant qu'on enfile sur le pénis en érection. Il empêche le dépôt des spermatozoïdes dans le vagin. Il protège aussi contre les infections sexuellement transmissibles. Le diaphragme : c'est un petit disque de caoutchouc qui, placé sur le col de l'utérus, empêche la pénétration des spermatozoïdes dans la cavité utérine. Le préservatif féminin : c'est un cylindre en gaine de caoutchouc qui est introduit dans la cavité vaginale et qui empêche le dépôt des spermatozoïdes dans le vagin. [...]
[...] Les méthodes chimiques : il s'agit des spermicides. Ils sont conditionnés sous forme de crème, d'ovules ou de capsules. Ils détruisent les spermatozoïdes et contiennent un agent bactéricide pouvant prévenir certaines infections sexuellement transmissibles. La stérilisation : c'est la suppression de la faculté de reproduction. Elle peut être aussi bien masculine que féminine. La stérilisation masculine : elle s'abstient par section ou ligature des canaux déférents qu'empruntent les spermatozoïdes à la sortie des testicules. La section des deux canaux déférents n'arrête pas la sécrétion spermatique ; car la plus grande partie du sperme contient des sécrétions de la prostate et de vésicule séminale. [...]
[...] Elle est responsable du maintien du corps jaune et de sa transformation en corps jaune de grossesse (ou corps jaune gravidique). La hCG stimule le corps jaune à continuer de secréter des œstrogènes et de la progestérone. Elle est décelable dans le sang de la mère dès la première semaine après la fécondation. Sa concentration continue d'augmenter jusqu'à la fin du deuxième mois, puis diminue brusquement. À quatre mois de gestation, le taux de hCG baisse et se maintiendra jusqu'à la fin de la grossesse. [...]
[...] Il existe des méthodes contraceptives (opposant à la conception) et des méthodes contragestives (opposant à la gestation). Ces méthodes exercent leur action à des niveaux différents de la reproduction (avant ou après la fécondation). Elles recommandent l'abstinence sexuelle au cours de la période féconde. On distingue : La méthode de calendrier ou méthode Ogino : il s'agit de s'abstenir de relations sexuelles pendant la période féconde élargie de 6 à 7 jours, à condition que la femme ait un cycle régulier. [...]
[...] Il se fixe sur les récepteurs des cellules de l'endomètre avec une affinité plus grande que la progestérone. À la différence de la progestérone, le RU 486 n'entraine pas la modification de l'activité des cellules cibles. Ainsi, il empêche l'action de cette hormone. La progestérone étant indispensable au maintien de l'endomètre, l'effet anti-progestérone du RU 486 se solde par la mort de l'embryon. La pilule du lendemain En cas de rapport sexuel potentiellement fécondant, l'administration dans les 72 heures de cette pilule (comprimés fortement dosés en œstrogènes et progestérone) provoque la destruction de l'embryon. [...]
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