Cours de biologie virale décrivant les caractéristiques et les procédés de multiplication d'un virus.
[...] Les pandémies sont parfois classées parmi les maladies émergentes induites par des virus mutants. De nouvelles questions se posent, par exemple sur les impacts sur le virus du rayonnement ultraviolet (mutagène de la radioactivité (facteur mutagène des biocides, des désinfectants, de l'appauvrissement génétique des populations d'oiseaux ou d'autres porteurs, de l'impact éventuel d'autres polluants mutagènes ou affaiblissant l'immunité, ou encore d'aspects nosocomiaux liés aux vaccins, aux hospitalisations, à l'hygiène dans les écoles ou maisons de retraite, etc. Ces questions restent ouvertes alors que l'écologie du virus n'est pas encore comprise, tout particulièrement pour le virus IA H5N1 HP qui se développe depuis 1996 et qui depuis 2003 présente les caractéristique d'un virus susceptible s'il mutait pour devenir plus contagieux de provoquer une pandémie. [...]
[...] : Pour le virus de la grippe aviaire, le terme H5N1 est très réducteur. En effet, actuellement, différentes souches virales circulent avec des pouvoirs pathogènes très variables : par exemple, les souches A/chicken/Shantou/423/2003(H5N1) ou A/bar-headed goose/Qinghai/5/2005(H5N1). Variabilité des virus grippaux Les virus grippaux évoluent et mutent selon deux mécanismes : les glissements antigéniques (ou drift) ou les cassures antigéniques (shift). Les glissements sont des variations antigéniques discrètes et continues qui ne modifient pas la structure antigénique globale du virus et permettent donc de conserver une immunité partielle à court terme. [...]
[...] La maladie a été décrite en 1840 par l'orthopédiste allemand Jacob Son Heine. La plus forte incidence de la maladie se retrouve chez les enfants de cinq à dix ans. C'est dans les zones tempérées que sa forme clinique est la plus fréquente. Alors que l'on croyait cette maladie totalement éradiquée, l'OMS a recensé soixante-dix pays dans lesquels elle est encore présente, notamment en Afrique centrale et de l'Ouest. Conjointement au virus Ebola, une très forte épidémie de poliomyélite a sévi au Zaïre l'été de 1995. [...]
[...] Parmi ceux-ci, les rétrovirus, en s'intégrant dans le génome cellulaire, peuvent devenir tumorigène et possèdent donc la capacité d'entraîner des cancers. Les oreillons. Il s'agit d'une maladie virale qui touche surtout l'enfant à partir de 3 ans et scolarisé, rarement avant. Elle dure de 5 à 15 jours environ. La contagion : La maladie se propage par la salive. Elle est contagieuse 3 à 4 jours avant l'apparition de la tuméfaction et encore 1 semaine après. La varicelle. La varicelle est une infection très courante de l'enfance. [...]
[...] Or, la plupart des virus utilisent des voies métaboliques de la cellule-hôte pour la réplication de leur génome. De nombreuses molécules capables de bloquer leur réplication sont donc aussi des toxiques cellulaires. Elle ne peut prétendre éradiquer l'infection virale latente. Une molécule antivirale ne peut en effet agir qu'au moment de la réplication virale. Les antiviraux n'ont donc qu'un effet virostatique et, vis-à-vis de certains virus "latents", comme les herpesvirus ou les rétrovirus, ne peuvent agir qu'au moment des récurrences. [...]
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