Il existe sur terre, un grand nombre d'espèces vivantes plus ou moins apparentés entre-elles. Les différentes études de ces espèces d'un point de vue anatomique, morphologique, embryonnaire ou même génétique, permettent de séparer et de définir différents groupes ayant les mêmes caractéristiques. Les ancêtres de l'homme d'aujourd'hui et les singes font partis du groupe des primates. Les mutations et les changements sont progressivement apparus sur ces espèces. Les membres du groupe ont eu de plus en plus de spécificités ce qui a permit de les classer ensuite dans d'autres groupes comme les humanoïdes ou les hominidés (...)
[...] Le réseau neuronique s'est en effet fortement développé, une irrigation encéphalique en conséquence est également apparue. Les ancêtres de l'homme ont donc été plus intelligents et ont acquis de nouvelles facultés et savoirs. On s'en aperçoit en observant leurs outils qui se sont progressivement perfectionnés. L'étude de la position et de la forme du pharynx et du larynx a notamment montré l'acquisition d'un langage articulé et transmit à la descendance. Une espèce peut également appartenir à la lignée humaine lorsqu'il y a des traces fossiles d'activités culturelles. [...]
[...] I.A.) Caractères dérivés en rapport avec une bipédie exclusive et perfectionnée La bipédie est l'une de ces principales caractéristiques. Les ancêtres de l'homme ont vécu en milieu forestier, ils ont été obligés de ce redresser progressivement pour leur permettre de voir plus loin ou d'atteindre de la nourriture en hauteur. L'acquisition de la bipédie a changé le corps des ancêtres. Ils ont progressivement eu une colonne vertébrale avec 4 courbures et verticale pour ce tenir droit, leur bassin est devenu plus large et d'une hauteur moins importante. [...]
[...] Des traces de pas fossilisés appartenant aux australopithèques permettent également d'affirmer l'appartenance des australopithèques à la ligné humaine. II.B.) Homo Il a existé différentes espèces du genre Homo en Afrique (erectus, Néandertaliens., Sapiens, Habilis . ) Les différentes espèces ont vécu à des périodes différentes mais certaines ont co-habités à la même époque. Actuellement, il ne reste qu'une seule espèce d'Homo sur terre, l'homo sapiens sapiens, l'homme moderne, nous ! Tout comme les australopithèques, les homo appartenaient à la ligné humaine car ils en possèdent certaines caractéristiques. [...]
[...] La forme du nez a évolué jusqu'à avoir des narines rapprochées On a donc vu les principaux critères d'appartenances à la lignée humaine. On admet que tout fossile présentant au moins l'une de ces caractéristique dérivés appartient à la lignée humaine, c'est un hominidé. II) L'exemple du genre Australopithèque et homo. En Afrique et au Moyen-Orient, de nombreuses recherches paléontologiques ont permis de découvrir les restes fossilisés de crâne, de squelettes mais aussi de traces d'activités culturelles d'australopithèques et de différentes espèces du genre Homo. L'étude de ces fossiles montre des caractères qui permettent de le classer à la ligné humaine. [...]
[...] La lignée humaine a donc des caractéristiques qui lui sont propre comme la bipédie, la régression de la face, le développement du volume crânien et les traces fossiles d'activités. Ont peut classer les différentes espèces dans la lignée humaine selon qu'elles possèdent ou non ces caractéristiques. C'est le cas pour les australopithèques et les espèces du genre Homo qui en possèdent plusieurs. Une phylogénie stable est cependant difficile à établir tant les nouvelles découvertes remettent sans cesse en cause l'ordre établi. [...]
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