Une physiologie quelconque implique une pathologie potentielle.
L'être humain, animal et végétal dispose d'une physiologie qui lui est propre, selon les espèces, et donc de pathologies possibles à différents niveaux de leur physiologie.
Je m'intéresserai ici au sommeil, processus biologique vital, assurant une fonction homéostatique de l'organisme vivant en général ; ainsi qu'à un de ses disfonctionnements : l'insomnie qui est plus spécifique à l'être humain (nous verrons pourquoi).
Ces thèmes seront abordés à deux niveaux : l'un biologique et le second neuro biologique (dans la limite de mes capacités de compréhension toutefois).
Ainsi, je me suis posé la question de savoir comment le sommeil pouvait s'altérer et perturber ainsi tout le fonctionnement normal d'un individu.
Afin d'y répondre, je tenterai de synthétiser le fonctionnement d'abord normal du sommeil, puis, de comprendre sa détérioration possible (...)
[...] Le sommeil synchronisé/ lent : - le stade 0 : correspond à la veille calme avec présence d'activité alpha à 13 Hz ( nombre de cycles par secondes).On détecte des fréquences EEG (l'électroencéphalogramme) mixtes de faible voltage. - Le stade 1 : présente des fréquences EEG mixtes de faible voltage ainsi que des ondes alpha lentes Hz) et thêta ( à 9Hz). Ces dernières sont prédominantes dans ce stade - Le stade 2 : présente des fuseaux de sommeil (12 à 14 Hz) d'une durée minimum de seconde et/ou de complexes K grandes ondes définies par amplitudes en microvolts) et absence d'ondes lentes en quantité suffisante. [...]
[...] Un groupement de décharge dure pendant un temps déterminé et se reproduit de façon cyclique. E. Les limites de ces études Ces études ont finalement peu d'intérêt si l'on n'a aucune compréhension des modifications physiologiques impliquées. Beaucoup de recherches sur le sommeil, simplistes et sans grand intérêt ont été faites, rapportant des modifications des stades lors des prises de médicaments, d'infections Mais elles démontrent que ces modifications ont entraîné une modification des contrôles physiologique associés avec le stade donné. ( La reconnaissance de l'existence du sommeil ( un tiers de la vie de l'homme, ce qui n'est pas négligeable de la présence de trois états (veille, sommeil lent et sommeil paradoxal), chacun avec leur physiologie- pathologie propre, et de multiples pathologies liées au sommeil, a entraîné des questions sur l'efficacité et la justification des enregistrements de sommeil tels qu'ils sont réalisés. [...]
[...] Le patient dont le rythme veille-sommeil est structuré sur 24 heures n'est pas à l'abri de cette insomnie de désynchronisation. Par l'exemple, les difficultés de sommeil des personnes assujetties au travail posté (les 3 huits) ou les vols aériens internationaux (jet lag). Dans le "jet lag "syndrome, syndrome des vols transméridiens, tous les synchroniseurs sont en décalage de phase. L'adaptation est assez rapide, entre deux et huit jours, variables selon les sujets, le nombre de fuseaux franchis, et la direction : l'adaptation serait plus facile dans les voyages d'est en ouest. [...]
[...] Conditions à l'endormissement 2 C. Comment fonctionne ce processus ? 2 La distribution particulière de ces stades lors du sommeil 2 D. Pourquoi avons-nous sommeil à un moment déterminé ? 2 E. Les limites de ces études 2 Aspect neurobiologique 2 II- L'INSOMNIE 2 Les facteurs alimentaires 2 Les facteurs toxiques 2 Les facteurs chronobiologiques 2 L'activité physique et intellectuelle 2 Les facteurs organiques 2 Les facteurs psychologiques et psychiatriques 2 CONCLUSION 2 BIBLIOGRAPHIE 2 Introduction : Une physiologie quelconque implique une pathologie potentielle. [...]
[...] Il est à noter que, comme dans la dépression, les variables du sommeil entretiennent des relations statistiques significatives avec les échelles cliniques. CONCLUSION Un bon sommeil est indispensable à notre bon fonctionnement interne mais également à notre vie en société. Le traitement d'un dysfonctionnement lié au sommeil peut se faire de différentes manières (psychothérapie, médicaments, etc.). La psychothérapie demeure à mon sens la meilleure façon de traiter ces symptômes, car tous malaises résultent d'une cause intègre à chaque individu dont lui seul peut en trouver l'origine et permettre ainsi d'abaisser la tension interne déclencheur des anomalies. [...]
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