Le document comporte trois fiches : le lien de parenté chez les vertébrés (taxon, arbres phylogénétiques, etc) ; la lignée humaine (l'Homme parmis les primates, les critères d'appartenance à la lignée humaine, etc) ; les mécanismes de l'évolution et génétique (la pression sélective, les mutations, etc).
[...] Les chromosomes peuvent souvent être semblables mais ils diffèrent par un certains nombre de différences (par inversion d'un segment autour du centromère, par adjonction d'un segment ; par suppression ; par soudure de 2 chromosomes.) La comparaison des caryotypes : nombre de chromosomes, disposition des bandes sur les chromosomes, confirment l'existence de lien de parenté entre l'homme et le chimpanzé. L'Homme partage donc un ancêtre commun récent avec le chimpanzé. L'Homme est la seule espèce actuelle du taxon des homininés. [...]
[...] Fiches signalétiques d'hommes fossiles et actuels. Tout fossile présentant au moins un caractère dérivé anatomique propre à l'espèce humaine actuelle appartient à la lignée humaine. Les homininés fossiles et actuels sont représentés par 2 genres : les Australopithèques et les Homo présentant tous au moins un caractère dérivé d'appartenance à la lignée humaine. On peut observer une tendance évolutive du genre Homo par : Augmentation du volume crânien (perte du bourlet sus-orbitaire, apparition d'un front) ; Réduction de la face qui s'aplatit ; Apparition d'un menton. [...]
[...] Les innovations génétiques (mutations) peuvent être favorables, défavorables ou neutres pour la survie de l'espèce. Seules celles qui affectent les cellules germinales d'un individu peuvent se transmettre de générations en générations. Un des moteurs de l'évolution : la pression sélective. Les mutations qui confèrent un avantage sélectif aux individus qui sont porteurs ont une probabilité plus grande de se répandre dans la population : on parle de sélection naturelle. L'exemple de la phalène du bouleau (papillon) est démonstratif : la mutation est apparue dans une population de phalènes claires et conférant aux papillons une couleur sombre qui s'est rapidement répandue dans les régions polluées. [...]
[...] D'autres analogies biologiques moléculaires (vitesse d'évolution des molécules par mutation) repoussent cette divergence vers -10 millions d'années. II] Les critères d'appartenance à la lignée humaine. III] Activités des chimpanzés : des vestiges exploitables. Traces de foyer (datation possibles au carbone 14) renseignant sur la domination du feu. Restes d'ossements permettant l'identification des animaux chassés. Outils rudimentaires (silex, schoppers, bifaces organisation sociale. Culte des morts : sépultures et offrandes (témoins de préoccupations mystiques). Art rupestre Une communication sonore mais non articulée. Néanmoins, toutes ces activités sont moins développées que chez l'Homme. [...]
[...] Ce qui justifie la recherche de critères permettant d'établir des liens de parentés entre des êtres vivants. Identification des lien de parenté chez différentes espèces de variétés. Les vertébrés présentent des caractères communs, se sont des caractères partagés. L'identification des caractères partagés entre différents êtres vivants permet d'isoler un groupe d'organismes formant une unité bien délimitée : un taxon (groupe définit pour un ensemble de caractères). L'existence d'un même caractère sous différents états chez des espèces d'un même taxon traduit une évolution de ce caractère. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture