Etude de la fourmi dans son individualité et dans sa globalité, de sa vie sociale en communauté. On y retrace aussi bien son anatomie que son comportement en groupe.
[...] Les fourmis partent alors seules dans la nature à la recherche de leur pourvoyeuse. Si elles ne la trouvent pas, elles restent de longues heures suspendues aux extrémités des herbes. Et ce jusqu'à la mort. -Organisation de la cité : -Hiérarchie sociale (castes) : Les fourmis sont socialement organisées en castes : Ouvrières, soldats, nourrices, individus sexués (reine et mâle). Chacunes d'entre elles présentent une morphologie particulière et remplit des fonctions bien précises. A l'intérieur de notre fourmilière, si l'on observe bien, on peut y voir différents types de fourmis. [...]
[...] Dès que la fourmi a goûté à ce nectar, elle ne pense qu'à une chose: continuer. Pour avoir de la drogue, elle est prête à laisser la lomechuse manger les habitants les plus précieux: les couvains et la reine. Elle est même prête à se laisser dévorer. On a assisté par exemple à des scènes où la tête de la fourmi continuait de sucer la lomechuse pendant que celle-ci lui dévorait l'abdomen. Parfois, cependant, lorsque la lomechuse s'est bien gavée d'oeufs, de reine et d'ouvrières; elle s'en va en laissant les fourmis dépendantes. [...]
[...] On a aussi vu des fourmis et des abeilles, se défendre mutuellement d'ennemi commun. C'est un échange de bon procédé Conclusion Les fourmis sont donc les êtres les plus agressifs et les plus cruels de la planète. Cependant, chacun voit en leur société une réussite, un succès, une sorte de modèle d'organisation qui donnerait la suprématie au caractère social. Dans ce cas, on peut considérer que les fourmis auraient exploré tout le domaine du caractère collectif et de l'altruisme. Cependant, on peut voir ce monde idéal comme une sorte de camp de travail forcé sans la moindre liberté. [...]
[...] En échange de nourriture, les fourmis protègent les pucerons des prédateurs, les bichonnent, les lavent et prennent grand soin de leurs œufs. Elle vont même jusqu'à les abriter à l'aide de parois constituées de terre ou de carton. Parfois elle les emporte dans leur nid pour les traiter comme les membres de la colonie. L'échange de nourriture est contrôlé par la fourmi elle-même. La fourmi en touchant avec ses antennes ou ses pattes antérieures le puceron, déclenche la sécrétion de miellat. [...]
[...] Le signal sonore est un crissement aigu, dû aux frottements d'un mince grattoir transversal situé sur sa taille, contre un plateau de fines crêtes parallèles, situé sur la surface adjacente de l'abdomen. Cette stridulation (comme l'ont définie les scientifiques) peut remplir différentes fonctions, selon l'espèce et les circonstances : - Signal de détresse. - La qualité de l'alimentation. - Un signal de renforcement. Ainsi la fourmi utilise de nombreux types de communication, comme la communication sonore, visuelle, et tactile ; Cependant elles restent du point de vue de l'efficacité très négligeables comparées à la communication chimique. -Alimentation : Les fourmis sont la plupart omnivores, et leur régime alimentaire est relativement varié. [...]
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