Dans l'ovaire, chaque ovocyte est entouré de cellules + petites, l'ensemble formant un follicule. Au cours de la phase folliculaire, un follicule cavitaire achève sa croissance, les cellules folliculaires sécrètent des oestrogènes. L'arrivée à maturité du follicule se traduit par un pic d'oestrogènes suivi 2 jours après par l'ovulation. Après l'ovulation le follicule se transforme en corps jaune (phase lutéale). Les cellules du corps jaune sécrètent de la progestérone et des oestrogènes. En fin de cycle, le corps jaune dégénère ce qui entraine une chute du taux d'hormones.
B] Le cycle utérin et son contrôle
cellules de l'utérus = cellules cibles des hormones ovariennes.
action des oestrogènes = stimulent les mitoses (=> épaississement de l'endomètre), stimulent les contractions du myomètre (=> favorisent le transport des spermatozoïdes), sous l'action du pic d'oestrogènes la dimension des mailles de la glaire cervicale (mucus sécrété par les cellules du col de l'utérus qui forme un réseau de filaments serrés en travers du col de l'utérus) devient supérieure à la taille de la tête des spermatozoïdes.
action de la progestérone = inhibe les contractions du myomètre (=> facilite la nidation), stimule le développement des glandes utérines et leur activité sécrétoire en glycogène (=> favorise la nidation).
En absence de fécondation, le corps jaune dégénère, ce qui entraîne une chute des taux d'hormones ovariennes => destruction de la muqueuse utérine => menstruations.
C] Aspect comportemental
Chez les mammifères non-hominidés, l'acceptation du mâle par la femelle fait l'objet d'un comportement sexuel stéréotypé déterminé par le pic d'oestrogènes et limité à la période d'ovulation. La période de reproduction correspond souvent à une période limitée de l'année avec absence de cycles le reste de l'année.
Chez les primates hominidés, la sexualité est au moins en partie dissociée de l'activité hormonale, la période de rapports sexuels s'étendant en dehors de la période d'ovulation (...)
[...] II) Les crises : des repères dans les temps géologiques Entre 2 crises au un gpe caractéristique disparaît, un autre se développement. Les crises constituent des discontinuités dans l'évolution de la vie (entre les crises = périodes de stabilité) Les caractéristiques d'une crise A l'échelle des temps géologiques, une crise semble brutale et immédiate. On peut cependant distinguer certaines étapes : des changements géologiques qui peuvent être progressifs, des changements climatiques, variation du niveau des océans, des taux de salinité, évènements + immédiats (volcanisme, impact météorite). [...]
[...] Méthode des assemblages fossilifères = on considère plusieurs espèces. Méthode des lignées évolutives II) Les principes de la datation relative Les strates de roches sédimentaires témoignent du temps écoulé, mais d'autres phénomènes géologiques peuvent modifier leur agencement. Les ensembles de roches conservent le témoignage des successions d'évènements. On peut alors reconstituer ces évènements en considérant que les phénomènes passés se sont déroulés suivant les mêmes lois physico-chimiques que les phénomènes observés aujourd'hui. C'est le principe de l'actualisme. Le principe de superposition Les sédiments se déposent les uns par dessus les autres, la couche la + basse étant la + ancienne. [...]
[...] Les cellules à l'origine des plasmocytes sont les LB : ils portent des anticorps membranaires tous spécifiques du même antigène ils ne peuvent fixer qu'un seul antigène spécifique de ces anticorps. Il existe dans l'organisme dans très nombreux clones de LB par leurs récepteurs membranaires clones avec 105 exemplaires de chaque). Les cellules à l'origine des LT cytotoxiques sont les LT8. Ils possèdent des récepteurs T à la surface de leur membrane. L'ensemble des récepteurs T et des anticorps membranaires présents à la surface des clones constitue le phénotype immunologique inné d'un individu. Des mécanismes génétiques originaux dans le génome, les LB ont des gènes morcelés. [...]
[...] Ces frontières sont appelées marges actives. Des marqueurs caractéristiques d'une marge active Un relief particulier - relief négatif = fosses océaniques (ex : Mariannes = -11000m) - relief positif = chaînes de subduction (ex : Cordillère andine) ou arcs volcaniques (ex : Japon) et prismes d'accrétion. Une signature sismique existence d'une zone peu épaisse et plane où sont localisés les foyers sismiques près des fosses océaniques = plan de Bénioff = matérialise le passage de la plaque plongeante sous la plaque chevauchante. [...]
[...] Cette idée est reprise par Beadle et Tatum qui découvrent que le blocage de la chaîne métabolique est lié à la mutation de plusieurs gènes produisant des enzymes qui se succèdent, et que chacune des déficiences se sépare en suivant les lois de Mendel. Chaque gène contrôle la synthèse d'une enzyme ou plutôt d'une protéine II) L'ADN, support de l'information génétique - depuis environ 1900 on sait que le noyau d'une cellule renferme de l'ADN - depuis environ 1940 on sait que les chromosomes sont faits d'ADN - les cellules bactériennes ont la capacité à intégrer un facteur transformant provenant d'une bactérie (de la même espèce mais d'une autre souche) = conjugaison. [...]
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