Ecosystème, interactions, biocénose, biotope, prédation, parasitisme, commensalisme, neutralisme, biomasse, réseau trophique, photosynthèse, milieux de vie, dynamiques, proies, modèle Lotka-Volterra, réchauffement climatique, biodiversité, pesticides, forêt, perturbations, gaz à effet de serre, GIEC Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat, faune, flore, COP Conference Of Parties, Greta Thunberg, enjeux contemporains
Biocénose : ensemble des êtres vivants d'un même biotope : milieu aux conditions homogènes offrant un espace de vie à la faune et à la flore. Ces « conditions » sont les facteurs abiotiques et regroupent la salinité, la luminosité, la température, le vent et l'humidité. C'est cet ensemble biocénose et biotope qui forme un écosystème pouvant prendre plusieurs formes comme les océans, les déserts, les forêts… Les êtres présents dans ce biotope entretiennent des relations appelées les facteurs biotiques. Les êtres peuvent vivre en symbiose, en prédation ou en parasitisme.
[...] Les perturbations humaines Il en existe de beaucoup de sortes que nous retrouvons localement et globalement comme le fameux exemple de la baisse du nombre d'abeilles, mais encore l'appauvrissement des sols par la surexploitation, la réduction de la superficie des milieux naturels (baisse de la biodiversité, déforestation . les incendies se multiplient avec le réchauffement climatique, les banquises fondent, le taux de CO2 et d'émission de gaz à effet de serre augmente. Ceci se rapporte de nouveau au réchauffement climatique, la hausse de la température mondiale. D'après le GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), d'ici 2100, une évolution de plus de 4° sera atteinte. Ce réchauffement est la conséquence néfaste la plus directe de l'humanité sur son écosystème. [...]
[...] Si les espaces n'interagissent pas, il s'agit du neutralisme. Flux de biomasse Les producteurs primaires sont les plantes, elles fabriquent du glucose par la photosynthèse (6CO2 + énergie chimique = C6H12O6 + 6H2O) et représente donc l'entrée de matière dans l'écosystème. Ensuite, elle va être transférée par un consommateur primaire (herbivore) à un consommateur secondaire (carnivore ou omnivore) puis tertiaire (par exemple certains sont parfois qualifiés de super prédateurs). Entre ces transferts, l'énergie circule par la respiration cellulaire ou la fermentation selon le type d'être vivant (respectivement les animaux et les champignons). [...]
[...] En effet les changements climatiques au cours du temps ont été très fréquents (époques glaciaires . ) produisant 5 fois la disparition de la majeure partie de la faune et de la flore, il n'est pas improbable que nous soyons au début de la 6e crise sauf que cette fois le changement est dû aux perturbations anthropiques (par les êtres humains). L'humanité s'auto-inflige des conséquences néfastes écologiquement et économiquement. L'humanité et la protection environnementale Il est bien connu que les êtres humains ne sont pas uniquement source de perturbations. [...]
[...] Le mouvement de volonté de restauration des écosystèmes est encore possible avec une mobilisation planétaire : il est possible de restaurer les sols en introduisant des espèces bioremédiatrices, en plantant des arbres près d'un champ, en stoppant la production de masse ou encore l'agroforesterie qui permet d'allier plusieurs espèces de plusieurs écosystèmes, c'est un système d'ingénierie écologique. En agissant ainsi, l'écosystème peut petit à petit améliorer ses défenses, selon le principe de résilience. Mais quand la limite de l'écosystème est atteinte, il est trop tard et cela peut être le cas pour des espèces disparues. Les connaissances scientifiques sur le fonctionnement des écosystèmes ont permis de mettre en place ces solutions. Le tout représente les enjeux contemporains. [...]
[...] Les échanges réciproques peuvent aussi s'appeler mutualisme lorsqu'il n'y a pas la notion d'hôte (en effet la symbiose nécessite qu'un être vive bénéfiquement dans un autre) et, avec la symbiose, représentent une aide mutuelle. Il y a aussi les relations de compétition, donc la concurrence, pour la lumière ou la nourriture par exemple. Un peu à l'image de la symbiose, un être peut vivre dans un autre et en profiter sans lui apporter du bien ou du mal, c'est le commensalisme et c'est une aide unilatérale. [...]
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