L'arrivée d'un potentiel d'action sur les fibres amyéliniques de type C provoque la libération de neurotransmetteurs particuliers dans le relais synaptique de la substance grise médullaire :
- Le glutamate (acide animé)
- La substance P (neuropeptide) (...)
[...] Exemple 2 : les enképhalines (fabriquée par note système nerveux) c'est un analgésique endogène (ou opioïde endogène). Toutes les substances extraites de l'opium sont appelées opiacées (opioïdes exogènes) Morphine Opium : Héroïne Alcaloïde La modulation de la douleur peut être effectuée artificiellement par injection de morphine où les récepteurs de la morphine sont situés dans la substance grise modulaire, principalement au niveau des synapses dans les dendrites des neurones nociceptifs des cornes dorsales. C'est un exemple d'inhibition post-synaptique. Il existe des récepteurs opioïdes dans la substance grise à la base des encéphales, là où il y a aussi des relais synaptiques entre les neurones nociceptifs et les neurones corticaux des aires de projections sensorielles. [...]
[...] L'effet des drogues sur le système nerveux Comment les drogues agissent-elles sur les systèmes nerveux périphériques (SNP) et les systèmes nerveux centraux (SNC) ? I. Modulation de la nociceptive A. Transmission synaptique L'arrivée d'un potentiel d'action sur les fibres amyéliniques de type C provoque la libération de neurotransmetteurs particuliers dans le relais synaptique de la substance grise médullaire : - Le glutamate (acide animé) - La substance P (neuropeptide) Si la fréquence du potentiel d'action augmente, les sensations augmentent. La sensation de douleur dépend de la fréquence des potentiels d'actions des neurones sensitives, des concentrations en substance P et glutamate des espaces synaptiques, du nombre de récepteurs spécifiques post-synaptiques et de la fréquence des potentiels d'actions sur les neurones nociceptifs. [...]
[...] Impact des drogues On appel drogue toutes substances chimiques ayant un effet stimulant ou inhibant sur le système nerveux. Les opioïdes augmentent l'inhibition des inter-neurones des réseaux de la nociception. Les nicotines remplacent les neuro-transmetteurs dans les synapses à récepteurs nicotiniques (d'où la baisse des récepteurs post- synaptiques et la baisse de la synthèse des neuro-transmetteurs pré- synaptique, c'est un exemple de tolérance progressive et d'apparition de l'indépendance). L'oeuvrage à une drogue correspond au temps nécessaire à l'organisme pour reconstituer ses neurotransmetteurs et ses récepteurs. [...]
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