Les protéines forment le lien entre génotypes.
L'ARN fait le lien entre ADN et la synthèse des protéines.
Les acides nucléiques et les protéines correspondent à deux langages différents ; le passage de l'un à l'autre nécessite deux étapes principales : transcription et traduction (...)
[...] Le taux de mutation pour un gène donné est toujours faible, de 10-5 à 10-11 Elles peuvent survenir à n'importe quel moment dans n'importe quelle cellule de l'organisme. Elles ne seront transmissibles que si elles se produisent au niveau de la lignée germinale. La descendance héritera alors de la mutation. Si elles apparaissent dans une cellule somatique, elles ne seront pas transmissibles à la descendance. V. Le polymorphisme génétique : Les mutations créent de nouveaux allèles, c'est à dire de nouvelles formes d'un gène donné. Un gène est dit polymorphe lorsqu'il existe, dans une population, sous plusieurs formes chez au moins 1%o des individus. [...]
[...] L'ARNt est synthétisé dans le noyau grâce à l'ARNpolymérase 3. L'ARNt se compose d'un seul brin d'ARN de 60-80 nucléotides environ, cet ARN se replie dans l'espace ( association des nucléotides et certaines bases vont être modifiés ARN fonctionnel ) Chaque ARNt peut servir un grand nombre de fois, l'ARNt va prélever un acide aminé dans le cytoplasme, va venir le déposer au niveau du ribosome ; puis l'ARNt quitte le ribosome pour aller chercher un autre acide aminé. Aminoacyl-ARNt-synthétase : Il s'agit d'une enzyme spécifique qui lie chaque acide aminé à l'ARNt correspondant. [...]
[...] Le génome d'un individu est l'ensemble de ses gènes. Le génome spécifie donc l'ensemble des caractères d'un individu (visibles et non visibles). Les mutations sont de plusieurs types : Une mutation est modification de la séquence de l'ADN. Elles sont de deux échelles : les mutations chromosomiques et les mutations génomiques. Les mutations génomiques apparaissent par : Substitution (un nucléotide est remplacé par un autre de nature différente, par exemple une guanine en cytosine) : Cela entraîne diverses conséquences au niveau de la protéine. [...]
[...] Il est cependant possible que la protéine conserve sa fonction. Elles sont qualifiées de " non sens " si un codon sens (codant pour un acide aminé) se transforme en un codon stop. La chaîne polypeptidique s'en trouvera raccourcie et cela aboutit, dans la plupart des cas, à une perte de sa fonctionnalité. Addition (un nucléotide est ajouté à la séquence nucléotidique) : Tous les codons suivants sont alors modifiés par décalage. La protéine résultante sera alors très différente de celle codée initialement et souvent inactive. [...]
[...] L'ARN fait le lien entre ADN et la synthèse des protéines. Les acides nucléiques et les protéines correspondent à deux languages différents ; le passage de l'un à l'autre nécessite deux étapes principales : Transcription et Traduction. I. Le code génétique : Découvert dans les années 60. L'ADN sert d'instruction pour la synthèse d'une chaine polypeptidique qui figure dans l'ADN sous la forme d'une série de mot composé de trois nucléotides = génons. La transcription est l'étape au cours de laquelle le gène détermine la séquence des codons ( triplet de nucléotide ARNm Pour chacun des gènes , un seul des deux brins est transcrit, il s'agit du brin non codant du gène, le brin codant étant le brin non transcrit. [...]
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