La capacité de se diviser est une caractéristique des cellules en prolifération. Elles parcourent un cycle de division (cycle cellulaire) qui dure chez les mammifères de 10 à 24 h. Le cycle cellulaire est habituellement divisé en quatre phases différentes qui sont parcourues l'une après l'autre. La phase de division proprement dite (phase M, phase de mitose) est tout à fait particulière et bien étudiée. Au cours de la phase S, l'ADN est répliqué. Les phases M et S sont séparées par deux intervalles de temps désignés par G1 et G2 (G pour gap = fossé). Au cours de la phase G1 dont la durée peut varier, la cellule va se développer grâce à une synthèse d'ARN, de protéines et d'autres composants cellulaires (...)
[...] Les noyaux migrent à la bordure de l'œuf et sont finalement séparés les uns des autres par des parois cellulaires (blastoderme cellulaire). C'est alors que débute la formation de plusieurs couches cellulaires (gastrulation) à partir desquelles vont se former grâce à des interactions entre les cellules les tissus de l'organisme. Le développement imaginal a lieu au stade de puppe. Dans la puppe, les tissus larvaires sont détruits et les tissus de la mouche adulte, comme par exemple les antennes, les yeux, les ailes et les appareils génitaux, se développent à partir des disques imaginaux. [...]
[...] Le cycle se termine avec l'émission de nouveaux virus. Le groupe des virus à ARN dont fait partie le VIH, désigné sous le nom de groupe des rétrovirus, car, lors du début de leur cycle, l'ADN découle de l'ARN, un phénomène qui va en direction inverse du sens normal de la transcription (ADN ARN) Morphogénèse : I Développement et morphogénèse : La mouche des fruits (Drosophila melanogaster) est devenue un organisme modèle très important pour la biologie du développement. A Développement de la mouche du fruit : Le cycle de vie d'une drosophile dure environ 10 jours. [...]
[...] Les protéines G présentes dans les membranes permettent la transmission des signaux extracellulaires touchant les récepteurs membranaires à sept segments hélicoïdaux transmembranaires, jusqu'au système effecteur dans la membrane. Les protéines G intracellulaires participent au contrôle de la synthèse protéique et à leur transport. Les protéines G hydrolysent lentement le GTP lié en GDP et retournent ainsi à leur état inactif initial. Les produits protéiques du proto-oncogène ras et de quelques oncogènes voisins sont apparentés à ces protéines liant le GTP. Les récepteurs hormonaux nucléaires permettent l'activation de la transcription de gènes spécifiques par les signaux lipophiles. [...]
[...] Les protéines-kinases occupent une place centrale dans la transmission des signaux intracellulaires. Elles produisent grâce à la phosphorylation spécifique de protéines une modification stable de l'activité biologique qui ne sera annulée que sous l'action de protéines- phosphatases. L'équilibre entre phosphorylation par des protéines-kinases et déphosphorylation par des protéines-phosphatases (interconversion) assure la régulation de nombreux processus cellulaires importants. Un grand nombre de produits de proto-oncogènes fait partie des protéines-kinases. On peut subdiviser la grande famille des protéines-kinases selon le type d'activation et le type de substrat. [...]
[...] Il provoque un appauvrissement de la cellule en N5, N10- méthylène THF et par conséquent un arrêt de la synthèse d'ADN Les virus : I Virus : Les virus sont des complexes nucléoprotéiques parasites. Dans de nombreux cas, ils se composent d'une molécule d'acide nucléique (ARN ou ADN, jamais les deux) et d'une enveloppe de protéines. Comme les virus n'ont pas de métabolisme propre et ne peuvent se multiplier qu'avec l'aide d'autres cellules, on ne les considère pas comme des organismes autonomes. Les virus qui par leur multiplication perturbent la cellule hôte sont pathogènes. [...]
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