Le document comporte 3 fiches de cours illustrées sur le processus de fécondation :
[...] Le rétrocontrôle négatif par la testostérone. Les mécanismes de modulation de la sécrétion de testostérone. -La castration bilatérale d'un mâle adulte est suivie d'une élévation des productions des gonadostimulines hypophysaires. -L'injection massive de testostérone stoppe les pulses de GnRH (par suite de FSH et de LH). La testostérone exerce une rétroaction négative sur la sécrétion de LH. Rôle de l'hypothalamus dans la régulation. La GnRH est une hormone sécrétée par des neurones de l'hypothalamus : c'est une neurohormone. Chez un bélier l'injection d'une forte dose de testostérone provoque un arrêt de la sécrétion de GnRH, de plus la castration entraîne une augmentation de cette sécrétion pulsatile. [...]
[...] Chez le mâle, la quantité de testostérone est en relation directe avec son activité sexuelle. Chez la femelle, différents cas de figure existent : -Soit la présence du mâle peut provoquer la décharge ovulante (augmentation de LH). -Soit à la fin de la phase lutéale, elle est perceptive (recherche et approche du mâle qu'elle stimule) puis réceptive et seul l'accouplement déclenche le pic de LH ou décharge ovulante. Il y a donc des facteurs internes (hormones) et externes qui agissent sur le comportement reproducteur. [...]
[...] -Augmentation de sa sécrétion avant l'ovulation : pic de LH le jour de l'ovulation, puis décroissance jusqu'aux règles. elle déclenche l'ovulation. elle transforme le follicule en corps jaune : elle stimule la sécrétion de progestérone. La sécrétion pulsatile de LH. Des dosages montrent que la LH est libérée par des épisodes de sécrétions brusques : les pulses suivies de périodes plus longues où la libération est quasiment nulle : c'est donc un mode de libération pulsatile. Le pique de LH correspond à une augmentation de l'amplitude de la fréquence des pulses. Le contrôle hypothalamique du fonctionnement hypophysaire. [...]
[...] Il s'agit de forte dose d'hormone visant à empêcher soit l'ovulation, soit la nidation en déséquilibrant brutalement l'axe gonadotrope. Les autres méthodes contraceptives. La contraception hormonale masculine est encore à l'état de recherche. Il existe des méthodes contraceptives non hormonales : -préservatifs masculins et féminins (diaphragmes), utilisés en association avec des spermicides. -Stérilets, mis en place par le médecin pour 4 à 6 ans (il perturbe localement l'endomètre et s'oppose à la nidation). -Substances spermicides (détruit les spermatozoïdes et contient un agent bactéricide). Schéma de la contraception : Aide médicalisée à la procréation La suivi de la grossesse. [...]
[...] Au moment de l'ovulation, cette glaire forme un maillage très lâche à pH basique donc favorable au passage des spermatozoïdes donc à la fécondation. En dehors de cette période, la glaire cervicale épaisse, plus ou moins coagulée à pH légèrement acide/ neutre formant un maillage très serré condamnant ainsi l'accès de la cavité utérine aux spermatozoïdes. Le synchronisme des cycles ovariens et utérins : mise en évidence de relations fonctionnelles. - Ovaires et utérus sont des cycles de même durée. - Evolution en parallèle de follicule ovarien et de la muqueuse utérine. [...]
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